LE BLOG DE MADAME HALIDI ALLAOUI
MARIAMA
passionnée des Comores
Une comorofrançaise de OUANI
Ma passion, c'est mon pays natal, les Comores et ma ville, Ouani, ma raison d'être
"S'accepter est le sommet de la lacheté, n'existe que celui
qui se refuse"
SONI LABOU TANSI : La Vie et demie (Paris - Seuil 1979)
"Un homme responsable est celui qui assume ses actes et
défend haut et fort ses convictions. Il
reste maître de sa pensée et refuse de devenir un mouton"
Halidi Allaoui
IMPORTANT :
MESSAGE POUR MES FIDELES VISITEURS :
NOUS VOUS INFORMONS QUE DEPUIS LE 01 DECEMBRE 2013, VOTRE BLOG CREE PAR ALLAOUI HALIDI, IL Y A QUELQUES ANNEES, EST GERE PAR MADAME MARIAMA HALIDI
MERCI DE VOTRE FIDELITE
Mariama HALIDI
QU'EST CE QUE LA LANGUE COMORIENNE ?
Pour répondre à cette question pertinente, nous vous proposons ci- dessous l'interview du grand linguiste et spécialiste de la langue comorienne, Mohamed-Ahmed Chamanga
NA MKARIBU HARI MWA YI BLOG YANGU
Cet outil va me permettre de vous faire decouvrir mon pays natal et
partager quelques unes de mes passions.......à ma façon !!!!
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Halidi Mariama (HALIDI-BLOG-COMORES)
MESSAGE IMPORTANT :
DEPUIS LE 01 DECEMBRE 2013, ALLAOUI HALIDI A CEDE LA RESPONSABILITE DE VOTRE BLOG A MADAME MARIAMA HALIDI.
MERCI DE VOTRE FIDELITE
CI-DESSOUS LES NEWS RECENTES DES COMORES
Abdouroihamane ABASSE alias SABASSE ( photo Archives ) qui était le Président et un des fondateurs de l'AOFFRAC ( Association Ouanienne-Floirac-France-Comores ) est décédé le 29 mars 2021 en Gironde ( FRANCE).
En ma qualité de membre et d'ancien Président de L'AOFFRAC, je m'approprie les termes de la lettre ci-dessous publiée ce jour sur la page Facebook de notre association.
Nos complicités et relations étaient multiples, fortes et inextricables.
Halidi Allaoui
2 AN DÉJÀ !
NOUS NE T'OUBLIONS PAS ET NE T'OUBLIERONS JAMAIS ET MERCI INFINIMENT CHER PRÉSIDENT SABASSE
Cher Président, SABASSE ( Abdouroihamane ABASSE),
Tu nous a quittés le 29 mars 2021 à Bordeaux en Gironde ( FRANCE). Cela fait déjà 2 ans aujourd'hui.
Qu'est-ce que tu nous manques ! Quelle grosse perte pour nous toutes et tous et pour ton....notre association qui a du mal à se relever !
Aucun membre ou sympathisant de L'AOFFRAC ( Association Ouanienne de Floirac- France- Comores) ne t'oubliera.
Merci infiniment d'avoir contribué à la création de ton... notre association.
Merci infiniment pour ton apport inestimable à ton...notre association.
Tu nous manques et manqueras toujours et profondément.
L,'AOFFRAC sans toi n'est plus et ne sera plus l'AOFFRAC. Sans toi, l'ambiance aoffraquienne n'est plus. Helas !
Repose en paix cher Président, ami, papa, papi...SABASSE. Toi qui as été tout simplement le meilleur d'entre nous.
Tu es et seras toujours là tant que nous sommes et serons là. Nos coeurs sont ton tombeau.
Aujourd'hui, nous prions toutes et tous pour toi, chacun à sa façon et partout.
MERCI INFINIMENT CHER PRESIDENT SABASSE
Tous les membres de l'AOFFRAC
Source : page Facebook de L'AOFFRAC / 29 mars 2023
À MON PAPA, MISSIÉ TOIYIFANE ( ALLAOUI HALIDI)
LES REGARDS DE MON MISSIÉ
Nous sommes le 40 ème jour. Jour de prière et de recueillement pour toi .
Tu nous as quittés précocement mais dans de bonnes conditions. Je ne suis, donc, pas triste. Bien au contraire. Je suis plutôt fier.
Car, tu es parti exactement comme tu l'as souhaité. Et j'ai pu faire respecter scrupuleusement tes volontés et désirs. Je remercie, d'ailleurs, mes frères et soeurs ainsi que ma belle-mère de m'avoir facilité la tâche. Même de loin, j'y ai veillé sérieusement du début à la fin. Il paraît que tu leur avais dit de m'écouter. Effectivement, tu m'avais tout expliqué à Ouani en 2018 en présence de ma belle-mère et de mon épouse et à Moroni en février dernier lors de notre dernière rencontre.
Quel beau voyage ! un voyage paisible, à un âge raisonnable avec tes facultés mentales, bien entouré et accompagné sans acharnement thérapeutique. Mais aussi des obsèques comme tu me l'avais recommandées ! Comme celles de ton papa, notre fundi, notre référence. Tout simplement.
Aujourd'hui, je prie uniquement pour toi.
Je revois aussi et surtout nos bons moments. Comme ton regard très expressif et insistant à chaque fois que nous nous retrouvions seuls. Un regard qui me suffisait pour te comprendre. Ce regard profond dans lequel se mêlaient tristesse, chagrin, amour et fierté. À ce regard qui restera gravé dans ma mémoire, j'offrais toujours mon sourire. Ce qui te contraignait à me lancer aussi le sien que j'attrapais et savourais allégrement. Que c'est beau, deux sourires confidentiels qui se croisent et s'entremêlent avec un regard insistant et profond !
Je m'en souviendrai toujours mon cher missié ( Baco pour les autres proches). Le regard amoureux qu'un enfant n'oublie pas ! Ce beau regard auquel j'avais droit à chaque fois que nous mangions ensemble dans le même plat, tous les deux, le " ntrovi ya hanadzi" délicieux préparé avec amour par maha Ourida.
Ou encore ton regard joyeux à chaque fois que j'étais de passage à Ouani. J'avais vite compris que tu attendais impatiemment ce moment.
Je revois également ce samedi 29 février 2020 au palais de justice de Moroni à l'occasion de ma prestation de serment pour m'inscrire au Barreau de cette ville. Ton regard était un reel regard de fierté et d'admiration à tel point que tout mon corps était rempli de frissons. Je tenais à t'offrir vivant cette fierté. Donc, mon rendez-vous historique, un des meilleurs moments de ma vie, n'était pas seulement avec mon pays natal. J'avais aussi rendez-vous ce jour là avec mes trois Lunes exceptionnelles : mes adorables maman et papas. Oui. Eux et toi. En réalité, nous avons prêté serment ensemble ce jour là. Mission accomplie. Merci infiniment à vous trois. Vous avez fait de moi ce que je suis. Vous m'avez offert ma fierté. Je tenais donc à vous offrir la votre et ce en votre présence ce jour là. Vous dire publiquement ce que je vous ai dit ce jour là.
Et ce regard honorable, fier et complice du mois d'août 2012 à Ouani, surtout quand je m'étais permis sans t'en parler au préalable de te taquiner publiquement sur tes convictions religieuses à la place publique de Msirojou ? Ce fut un beau cadeau offert un jour important de ma vie !
Enfin, je revois tes deux regards ultimes que tu m'as offerts gentiment par visio : le regard du vendredi soir était un regard rassurant et d'amour mélangé avec des mots de reconnaissance !
Hélas ! Ton dernier regard, celui du samedi après-midi, la veille de ton départ, était impuissant mais courageux. J'avais aussitôt compris le message.
Je revis et revois tout simplement ton regard....ce regard particulier....le regard d'un roseau pensant ... un regard lunaire. Oh, regard de sagesse !
Ces regards multiples sont là . Tes regards multiples seront toujours là.
Halidi Allaoui
26 février 2021
Ma lettre pour Ma Lune-Prière
Ma Lune-Prière
Nous sommes le 9ème jour
Ma Doaa est cette lettre
Le 03 mars 2019
Très tôt
Mon réveil a été brutal
Comme ton départ
Oh !
Quel courage !
À l'âge de 16 ans
Tu es partie
Très loin là bas
Sans NOUS offrir ton joli sourire
Qui illuminait nos visages
Mais je t'ai comprise
Je me souviens aussi
Je me souviendrai aussi
Tu aimais chanter
Quelle voix suave !
Tu avais des rêves
De beaux rêves
Tu voulais voyager !
Le 27 octobre 2018
À Moroni
En hommage à Charles Aznavour
Tu as chanté
Les points fermés
"Emmenez-moi au bout de la terre
Emmenez-moi au pays des merveilles "
Un autre jour
Toujours
À Moroni
Avec ta voix suave
Devant un grand public
tu as chanté Dalida
Il fallait oser !
Comme ton idole, tu l'as implorée de venir
Mais pas quand tu serais seule
Non plus quand tu serais allongée sur ton lit
Tu la voulais devant les projecteurs
Et ton "amie la rose"
Que tu aimais tant
Elle te faisait des confidences
N'est-ce pas ?
Tu faisais frissonner
Françoise Hardy
Moi aussi
Tu nous racontais
Oh !
Les confidences
De (ton) amie la rose
"On est bien peu de choses
(...)
Vois le Dieu qui m´a faite
(...)
Et je sens que je tombe
Et je sens que je tombe
Mon cœur est presque nu
J´ai le pied dans la tombe
Déjà je ne suis plus"
Je n'oublierai pas tes paroles
J'ai maintenant compris ton message
Ma prière est éternelle
Parmi mes belles lunes belles
Je t'ai scrutée
Je te scrute
Je te scruterai
Toi ma Lune-Prière
Toi lumière beaucorienne
Toi l'astre étincelant de soifa
Toi la petite étoile d'or
Qui brillait dans le noir
Notre doudou
Mon fundi et Ami Abou l'a dit
Je le répète
Si jeune
Si belle
Si intelligente
Je rajoute
Si attachante
Si douce
Si tendre
Si sociale
Si serviable
Il dit "peut-être"
Je dis "certainement "
Tu es cet Ange
Qu'il aime
Tu es partie
Comme tu le voulais
Pas seule allongée sur un lit
Et devant les projecteurs
On t'a emmenée
Au pays des merveilles
Toi la lune-reine
Oh !
Ta tombe
Tu y as été
Tu y es
Tu y seras
Tu vis et vivras pour toujours
Dans le coeur de ton tonton
Que tu aimais énormément
Dans le coeur de ton tonton
Qui t'aime profondément
Je t'offrirai un clin d'oeil
Je te carresserai aussi
À chaque fois que je traverserai
Bandamadji ya Itsandra
Ma belle prière
C'est toi
Ma jolie Doaa
Dors en paix
Car notre force est la FORCE
Halidi Allaoui
Moroni le 11 mars 2019
MA PENSÉE OUANIENNE ET FAMILIALE
MA PENSÉE AMICALE
MA PENSÉE CONFRATERNELLE
MA PENSÉE LUNAIRE
J'ignore le fond de l'affaire. On parle de tentative de coup d'état aux Comores depuis le mois d'août dernier. Certains évoquent une ''affaire serieuse''. D'autres se posent des questions sur ''les bizarreries de l'affaire''. Je n'en sais rien. Mais vraiment rien.
La seule chose que je sais est que des personnes sont déjà interpelées et détenues à la maison d'arrêt de Moroni.
Parmi eux se trouvent :
- le Colonel Ibrahim Salim alias Inzou, le chef d'état major adjoint de l'armée comorienne que je connais et apprécie. C'est ''un enfant de Ouani comme j'aime''. Il contribue à notre fierté ouanienne.
Un ancien officier de l'armée comorienne qui le connait très bien a écrit ceci pour lui hier sur son mur fb ''Ça serait une lâcheté de ma part si je ne t'ecrivais pas ces quelques lignes pour te réconforter et dire à qui veut l'entendre que l'Ibrahim que je connais ressemble à tout sauf à un putchiste''
- l'écrivain SAST ( Said Ahmed Said Tourqui), un ami d'enfance et de promotion et un frère de plume lunaire. Nous avons, en effet, fréquenté ensemble les bancs de l'école primaire de Moroni Application et partageons la même passion : l'écriture.
- Maître Bahassane Ahmed, Avocat inscrit au barreau de Moroni. Je ne le connais pas personnellement. Mais c'est un confrère. Donc, je ne peux pas rester indifférent.
En 2005, j'ai été témoin des conditions lamentables et inhumaines de certains membres de ma famille et des amis qui étaient en détention à la maison d'arrêt de Koki pour des raisons similaires. Je leur rendais visite régulièrement. Je me souviens encore de la grande souffrance par ricochet de ma grand mère maternelle et des autres.
Je n'aime pas les maisons d'arrêt en général. Je n'aime pas les maisons d'arrêt des Comores en particulier.
Pour ce qui est précisément de la maison d'arrêt de Moroni, ceux qui l'ont fréquentée parlent de " l'état lamentable de la prison'' et des " conditions très difficiles de détention".
Ainsi, j'exprime :
- ma pensée ouanienne et familiale au Colonel Ibrahim Salim
- ma pensée amicale à SAST
-ma pensée confraternelle à Maître Bahassane
- ma pensée lunaire aux autres
Halidi Allaoui
LE PRÉSIDENT
Réf: 468/12/PT/VP
Monsieur Manuel Valls
Ministre de l'Intérieur
Place Beauvau
75800 Paris cedex 08
Monsieur Victorin Lurel
Ministre des Outre-Mer
27 rue Oudinot
75007 Paris
Paris, le 17 octobre 2012
Monsieur le Ministre de l'Intérieur,
Monsieur le Ministre des Outre-Mer,
A Mayotte, les informations funèbres se succèdent et se ressemblent : 16 juillet, 7 morts dont 4 enfants ; 16 aout, décès d'un nourrisson au CRA après interception d'un kwassa ; le 8 septembre, 6
morts et 26 disparus ; le 8 octobre, 3 morts et 13 disparus dans un naufrage... Devant une telle accumulation, le porte-parole du Haut commissariat des Nations unies aux réfugiés (HCR) a réagi
lors d'une conférence de presse à Genève, en constatant que ce deuxième naufrage de kwassa porte à 109 le nombre de victimes en un mois, dont 69 décès par noyade lors de naufrages au large des
côtes de Mayotte pour 2012. Une telle intervention est sans précédent.
C'est que pour le HCR « ce naufrage rappelle les risques encourus par des personnes désespérées qui fuient la pauvreté, les conflits et la persécution. Comme en Méditerranée et dans le golfe
d'Aden, la mer entourant les îles de Mayotte est le théâtre de traversées clandestines entreprises par des migrants et des réfugiés en quête de vie meilleure ou de protection ». Et de rappeler
que l'année dernière, parmi ces pauvres à la recherche d'un endroit pour vivre, environ 1 200 demandes d'asile ont été déposées à Mayotte, soit 41 % de plus qu'en 2010, 90 % des demandeurs
d'asile étant originaires des Comores.
Pourtant l'espoir existait d'un changement de politique, suscité par le rapport des sénateurs M. Sueur, M. Cointat et M. Deplan, en juillet dernier, qui proposaient entre autre une modification
du visa dit « Balladur », dont l'effet sur les dangereux embarquements clandestins est avéré. Mais cet espoir a été contredit quelques mois plus tard par les déclarations de M. Christnacht, avant
même qu'il ait déposé son rapport d'expertise. Il semble, Monsieur le Ministre de l'Intérieur, Monsieur le Ministre des Outre-Mer, que vous ayez fait vôtre son seul point de vue et n'ayez accordé
aucun crédit au rapport des sénateurs.
Les naufrages vont donc continuer et les victimes s'ajouter aux victimes, puisque contrairement à ce que semble avoir perçu M. Christnacht, il s'agit de survie pour certains de ces migrants, ou
pour d'autres de coutume ancrée dans des rapports anciens de géographie et de culture.
Ce faisant, le gouvernement va maintenir Mayotte dans une situation où ne règne pas la loi commune de la République et les droits, un lieu où les pratiques sont dérogatoires. Il en découle que
les mesures adoptées par votre gouvernement – telle la circulaire sur l'interdiction de retenir des familles dans les CRA et la fin du délit de solidarité – n'y seront pas appliquées.
La Ligue des droits de l'Homme, qui a comme responsabilité politique et morale de défendre l'effectivité des droits, ne peut se satisfaire de l'existence de parcelles de la République où ne
s'applique pas le droit commun. Plus largement, nous refusons cette contradiction insupportable qui consisterait pour la France à défendre l'universalité des droits partout dans le monde, sauf
dans certaines zones d'exception aux conséquences mortelles sur son propre territoire.
Nous souhaitons, Monsieur le Ministre de l'Intérieur, Monsieur le Ministre des Outre-Mer, que vous preniez la mesure d'une situation aussi singulière, aussi dégradante pour notre pays, et que
vous acceptiez l'hypothèse qu'elle ne relève en rien d'une quelconque fatalité ou d'un effet des risques encourus par toute personne qui « prend la mer ». C'est pourquoi nous vous demandons la
mise en place de solutions respectueuses de la légitimité républicaine et des droits des personnes. Ces solutions existent et les organisations et associations de défense de tous les droits
seraient à même de vous en exposer les logiques, pour peu que vous acceptiez de les entendre.
Cette lettre sera rendue publique le vendredi 19 octobre 2012.
Veuillez croire, Monsieur le Ministre de l'Intérieur, Monsieur le Ministre des Outre-Mer, en ma haute considération.
Pierre Tartakowsky
Président de la Ligue des droits de l'Homme
Vous trouverez la lettre en date du 8 décembre 2011 que le Président de la FCC (Fédération Comorienne des Consommateurs) a adressée au Vice Président de l'Union des Comores, chargé du Ministère de la production, de l'Environnement, de l'Energie, de l'Industrie et de l'Energie concernant les normes de l'installation éléctriques et des équipements du futur hôpital de Hombo à Ndzuwani en cliquant ICI (fichier en PDF).
Dans cette lettre, le Président de la FCC attire à juste titre l'attention du gouvernement comorien sur la nécéssité d'équiper l'établissement hospitalier aux normes françaises et d'Europe continentale, communément adoptées dans l'archipel.
Nous espérons vivement que le destinataire de la lettre et le gouverneur de l'île de Ndzuwani feront tout pour éviter une bizarrerie éléctrique qui n'a pas lieu d'être.
En tout cas, en lisant une telle lettre, nous ne pouvons pas nous empêcher de nous demander si les techniciens et conseillers techniques comoriens ont été associés à ce projet. Qui informe et contrôle le bureau d'Etude pakistanais ?
Que nos gouvernants sachent qu'il ne suffit pas de réaliser des projets. Il faut surtout bien les réaliser.
Halidi Allaoui (HALIDI-BLOG-COMORES)