OUANI, MA VILLE
OUANI, JE T'AIME
LE BLOG DE MADAME HALIDI ALLAOUI
MARIAMA
passionnée des Comores
Une comorofrançaise de OUANI
Ma passion, c'est mon pays natal, les Comores et ma ville, Ouani, ma raison d'être
"S'accepter est le sommet de la lacheté, n'existe que celui
qui se refuse"
SONI LABOU TANSI : La Vie et demie (Paris - Seuil 1979)
"Un homme responsable est celui qui assume ses actes et
défend haut et fort ses convictions. Il
reste maître de sa pensée et refuse de devenir un mouton"
Halidi Allaoui
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NOUS VOUS INFORMONS QUE DEPUIS LE 01 DECEMBRE 2013, VOTRE BLOG CREE PAR ALLAOUI HALIDI, IL Y A QUELQUES ANNEES, EST GERE PAR MADAME MARIAMA HALIDI
MERCI DE VOTRE FIDELITE
Mariama HALIDI
QU'EST CE QUE LA LANGUE COMORIENNE ?
Pour répondre à cette question pertinente, nous vous proposons ci- dessous l'interview du grand linguiste et spécialiste de la langue comorienne, Mohamed-Ahmed Chamanga
NA MKARIBU HARI MWA YI BLOG YANGU
Cet outil va me permettre de vous faire decouvrir mon pays natal et
partager quelques unes de mes passions.......à ma façon !!!!
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OUANI, MA VILLE
OUANI, JE T'AIME
Fundi Abou (Aboubacar Ben Said Salim) ( photo : Fundi ABOU en lunette avec Me HALIDI) nous a quittés définitivement (paraît-il) dans la nuit du 2 au 3 septembre 2023. Un an déjà que je m'efforce d'y croire ! Car en réalité, nous ne pouvons pas nous quitter !
Fundi Abou est mon professeur de littérature française et negro africaine du lycée. Il est par la suite devenu mon préfacier mais surtout un Grand Ami. La poésie a, en effet, créé entre nous un Amour fort et sincère.
Comme je le dis souvent, j'ai eu le privilège ( surtout pas l'occasion) de croiser Fundi Abou sur mon chemin. Quel hasard ! Quel hasard extraordinaire ! En effet, j'ai fait sa connaissance dans les années 80 au lycée Saïd Mohamed Cheikh de Moroni, la capitale des Comores. Il m'a enseigné et appris les littératures française et négro-africaine en seconde et en première (une partie de l'année scolaire).
Durant ces deux années, il m'a vraiment formé et beaucoup appris. Il m'a fait aimer la littérature en général et la littérature négro-africaine en particulier. Sa façon de transmettre le savoir et son comportement m'ont toujours impressionné. Il était devenu un modèle pour moi. je prenais un réel plaisir à chaque fois qu'il parlait en classe, de Prévert , Baudelaire, Victor Hugo, Jean Racine, Verlaine, Mallarmé, Aldous Huxley, Ferdinand Oyono, Aimé Césaire, Sony Labou Tansi, Frantz Fanon, Richard Wright, Wole Soyinka.....
Alors que, la littérature négro-africaine, ne faisait pas partie du programme scolaire officiel aux Comores, il avait pris unilatéralement l'initiative de nous l'enseigner. Il pensait certainement déjà à l'enseignement de la littérature comorienne un jour laquelle était dans un état embryonnaire dans les écoles de notre pays. En effet, alors que Mohamed Ali Toihiri venait de publier chez L'Harmattan " La République des imberbes" (1985) le premier roman de langue française d'un auteur comorien, il n'avait pas hésité à me demander de faire un exposé sur cette œuvre en classe de seconde.
Je me souviens également qu'il m'avait demandé en 1986, dans nos échanges en aparté de lui donner mon point de vue sur le recueil de poèmes " Miroir des abîmes" du jeune Abdallah Miftahou qui venait juste de paraître. Je me demande même si cet auteur né à Ouani- Ndzuwani ( Comores) qui a publié son œuvre l'année de son obtention du bac à Rouen en France ne serait pas le premier Comorien à avoir fait éditer un recueil de poèmes en français !
À cette période, je ne comprenais rien à la poésie. Fundi Abou était en train de me l'apprendre. Pourtant, il m'avait demandé de lire plusieurs fois ledit recueil de poèmes et de lui faire part de mes impressions.
J'ai compris plus tard que Fundi Abou voulait absolument me faire imprégner de la beauté et de la qualité de ce jeune auteur comorien de surcroît mon oncle maternel. Et peut être suivre son chemin. Et il n'a pas eu tort !
Je reconnais aujourd'hui que ''Miroir des abîmes'', "Un épigone du surréalisme," dont " chaque page renferme une admirable image" a beaucoup contribué à mon amour pour la poésie. Je continue à le lire et relire.
Fundi Abou, un Grand Monsieur que j'aime beaucoup et respecte profondément m'a beaucoup appris au lycée Said Mohamed Cheikh de Moroni aux Comores. Il a aussi grandement contribué à ce que je suis poétiquement. Grâce à lui, j'ai opté, comme lui, pour le monde poétique.
Fundi Abou m'a fait aimer la poésie et l'écriture. Il m'a fait poète et m'a rendu amoureux du monde poétique. Il m'a appris à utiliser le " je " et la " tu " en poésie. La force du " je" et l'attention de la "tu". Le jeu du " je " et l'amour réciproque du " je " et de la " tu "...
Fundi Abou m'a inculqué la Pléiade...Baudelaire...Prévert (mon préféré),...Rimbaud (un de mes modèles)... Léopold Sedar Senghor, Aimé Césaire, Tchikaya U Tam'si pour ne citer que ceux-là.
Fundi Abou m'a appris le célèbre poème " Les oiseaux du souci" de Prévert publié dans " PAROLES". Ce poème qui m'habite depuis qu'il n'est plus. Est ce possible que jamais plus ?
Nos chemins se sont croisés et nous avons continué les mêmes chemins. En réalité, c'est surtout moi qui ai décidé de suivre ses chemins notamment son chemin poétique, son chemin de l'amour... notre amour réciproque...
Je l'ai même eu comme examinateur à l'épreuve d'oral de français du Bac ! Quel hasard ! Je me souviens que ce jour-là, il n'avait pas rater l'occasion de me demander de commenter le vers célèbre de Jean RACINE " Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes..." qu'il m'avait appris en classe de seconde. Il avait choisi exprès de me faire passer en dernier. Ce qui nous avait permis d'échanger sur la littérature ( la poésie surtout) durant au moins 1 heure 30.
Naturellement, quand j'ai décidé de publier mon premier recueil de poèmes
" Cris d'ici et d'ailleurs" ( Éditions Komedit 2008), j'ai pensé tout de suite à lui pour le préfacer. Chose qu'il a accepté de faire même si cela lui posait un peu problème compte tenu de notre forte amitié réciproque. Il avait, en effet, peur de violer son sens d'intégrité et d'objectivité intellectuelles auquel il était très attaché. M'avait-il chuchoté avec son sourire habituel !
Fundi Abou est aussi le Préfacier de mon deuxième recueil intitulé " À la reconquête de mes Lunes" et publié aux Éditions Coelacanthe en 2014. Chose à laquelle je tenais tant. Il a hésité mais il l'a fait. Quel amour ! Un amour réciproque ! Un amour poétique ! Je lui en suis très reconnaissant.
Effectivement, Fundi Abou était surtout devenu mon AMI comme il le dit lui-même dans la préface de mes " Cris d'ici et d'ailleurs ".
Mon Fundi et Ami adoré Abou. Tout simplement.
Tu resteras à jamais dans mon cœur.
Je continue à t'offrir mes prières, mon Fundi et Ami adoré Abou.
Je continue et continuerai à lire ton recueil de poèmes '' Mutsa, mon amour...'',
publié aux éditions Coelacanthe en 2014, car dans cette belle œuvre, à travers tes souvenirs, combats, amours... tu t'exposes. Une belle poésie autobiographique et fluide.... Un mélange de ton histoire personnelle et de celle de notre .... ton pays, les Comores que tu aimais tant...que j'aime tant. Ta poésie me sourit et me caresse. Même si dès fois, je lui offre mes larmes, le plus souvent, je lui jette mes éclats de rire. Elle est douce et simple. Son agressivité est tendre. Comme toi Fundi Abou.
Je relis et relirai aussi un de tes chefs d'oeuvres, le roman " Le bal des mercenaires" publié en 2002 chez KOMédit. Une oeuvre magistrale ! Un vrai régal.
Un mélange d'amour et de violences ; la lourdeur du poids des traditions, des moeurs.... Un roman qui aborde aussi une partie de l'histoire des Comores : le mercenariat des années 80.
J'aime particulièrement ton style mon cher Fundi Abou : fluidité, concision et plein d'humour.
Je retrouve tout simplement dans ton oeuvre, mon prof de littératures française et negro africaine du lycée de Moroni qui m'epatait et m'impressionnait.
Des Miloude et Mkaya, les deux personnages principaux de ton roman ? Les Comores en ont vraiment besoin. Comme les Fundi Abou.....
Repose en paix cher Fundi et Ami Abou !
Halidi Allaoui
Avocat et poète
JOURNÉE INTERNATIONALE DES DROITS DES FEMMES / 2024
MADAME DOULFAT KAMIL : LA FEMME COMORIENNE DU DÉVELOPPEMENT COMMUNAUTAIRE
Née en 1956 à Ouani- Ndzuwani (Comores), Madame Doulfat Kamil connue surtout par son nom d'épouse " Madame Dhilkamal " est titulaire d'une licence de mathématiques obtenue à l'université de Paris 7 en France.
Elle a enseigné pendant plusieurs années les mathématiques au lycée de Mutsamudu de Ndzuwani.
Je me souviens que dans les années 80, elle était réputée être une enseignante incorruptible et intransigeante.
Parallèlement, cette mère de 4 enfants s'est toujours engagée pour le combat pour la femme et a milité avec force dans le développement communautaire aux COMORES.
Dans les années 90, elle a participé à la conférence internationale sur la décennie organisée à Nairobi ( Kenya). De plus, elle a toujours été très active dans différentes associations féminines et associations oeuvrant pour le développement communautaire notamment dans sa ville natale. Elle est d'ailleurs membre fondatrice de l'association comorienne pour le bien être familial ( ASCOBEF).
C'est donc naturellement qu'en 1994, Madame Doulfat Kamil est choisie pour participer à la mise en place du Fonds d'Appui au Développement des Comores ( FADC) et devenue sa Directrice régionale de Ndzuwani jusqu'en 2009, date à laquelle elle est nommée Directrice nationale. Poste quelle occupera avec brio jusqu'en 2017. Il s'agit d'une institution qui a été créée par le gouvernement comorien pour canaliser des fonds vers les communautés les plus démunies.
Durant toutes ses années, Madame Doulfat Kamil était sur le terrain partout dans son pays afin d'appuyer les communautés villageoises à prendre en charge leur développement.
Profitant actuellement de sa vie de retraitée, Madame Doulfat Kamil a toujours fait preuve d'humanisme, de rigueur et d'honnêteté dans ses différentes responsabilités.
Elle doit servir d'exemple aux jeunes Comoriennes et Comoriens.
Halidi Allaoui
08/03/2024
Une interview intéressante en shikomori de Madame Sittou Raghadat Mohamed, Présidente de la CNDHL ( Commission Nationale des Droits de l'Homme et des Libertés) des Comores accordée à l'ORTC dans son émission " le Matinal " du mois de novembre dernier. Elle aborde divers sujets : la Masculinité positive, la CNDHL, les combats de la femme comorienne....
CLIQUEZ SUR LE LIEN CI-DESSOUS POUR ACCEDER À L'INTERVIEW
Dr Chifaou Abdallah
Me Nazlie Ainouddine
Mme Neymat Abou-Jaffar
JOURNÉE INTERNATIONALE DE LA FEMME/ 8 MARS 2023 :
JE FEMME
Que j'aime les étoiles lunaires qui brillent partout !
À l'occasion de la journée internationale de la femme célébrée le 8 mars dernier, je vous fais découvrir trois jeunes femmes comoriennes talentueuses parmi tant d'autres qui ont attiré mon attention. Elles vont faire parler d'elles dans quelques années. J'en suis quasiment certain. Elles excellent et impressionnent :
- Dr Chifaou Abdallah, Neurologue
Diplômée de différentes universités françaises (Pierre et Marie Curie - Paris, Lille, Lorraine) et bardée de diplômes ( Doctorat en médecine, DIU Clinical neurophysiology, DIU movements discordes, Master's degree, Neuroscience, DIU Epileptology) elle a exercé de 2010 à 2018 au CHU de Nancy. Elle travaille actuellement au Canada. Elle est discrète mais très efficace et compétente. Elle excelle dans son domaine professionnel et au-delà des pays où elle exerce. Ses interventions dans les conférences et dans le milieu médical interpellent les spécialistes.
- Maître Nazlie Ainouddine, Docteur en droit et Avocate
En 2020, elle a soutenu avec brio une thèse doctorale sur un sujet juridique passionnant ( L'évolution de la contrainte par corps du 16ème au 20ème siècle) à l'université de Poitiers (École doctorale Droit et Sciences politiques Pierre Couvrat). Après l'obtention d'un Master 2 de fiscalité des affaires et de fiscalité appliquée en 2021 et du CAPA (certificat d'aptitude à la profession d'avocat) en 2022, elle a prêté serment le 18 janvier dernier devant la cour d'appel de Paris pour exercer la profession d'avocat.
Ma Consoeur Nazlie Ainouddine avec qui j'ai eu l'occasion de travailler lors d'un stage effectué à mon cabinet est une femme d'une grande intelligence dont les qualités professionnelles, morales et humaines ainsi que l'étendue des connaissances juridiques et la rigueur sont incontestables.
- Neymat Abou-Jaffar, Senior Meeting Planner evenementiel et communication, Présidente de l'association Ebony Magic Girl et Photographe
Diplômée d'un Master 2 en Gestion des PME UE mention économie et société ( Université Paris X - Nanterre), elle est Senior Meeting Planner evenementiel et communication dans un grand Groupe en France. Elle excelle dans son milieu professionnel et laisse ses marques partout où elle intervient aussi bien en France que dans d'autres pays.
C'est une jeune femme qui aime aussi les combats honorables. Ancienne Présidente de l'association des Tirailleurs comoriens en France, elle est actuellement la présidente de l'association Ebony Magic Girl qui lutte contre l'endométriose ( c'est d'ailleurs grâce à elle que j'ai découvert cette maladie). Elle ne ménage pas ses efforts pour sensibiliser les gens ( intervention dans les médias, conférences, rencontres...), organiser des galas et mobiliser des fonds pour la recherche liée à cette douloureuse maladie gynécologique.
Elle est aussi Photographe. L'on trouve ses oeuvres photographiques sur les réseaux sociaux et dans des expositions organisées en France et aux Comores ( NAJ PHOTOGRAPHY).
Bonne chance et belle réussite Mesdames. J'attends avec impatience les échos sur vous...vos pas.....RDV dans quelques années
Halidi Allaoui
Abdouroihamane ABASSE alias SABASSE ( photo Archives ) qui était le Président et un des fondateurs de l'AOFFRAC ( Association Ouanienne-Floirac-France-Comores ) est décédé le 29 mars 2021 en Gironde ( FRANCE).
En ma qualité de membre et d'ancien Président de L'AOFFRAC, je m'approprie les termes de la lettre ci-dessous publiée ce jour sur la page Facebook de notre association.
Nos complicités et relations étaient multiples, fortes et inextricables.
Halidi Allaoui
2 AN DÉJÀ !
NOUS NE T'OUBLIONS PAS ET NE T'OUBLIERONS JAMAIS ET MERCI INFINIMENT CHER PRÉSIDENT SABASSE
Cher Président, SABASSE ( Abdouroihamane ABASSE),
Tu nous a quittés le 29 mars 2021 à Bordeaux en Gironde ( FRANCE). Cela fait déjà 2 ans aujourd'hui.
Qu'est-ce que tu nous manques ! Quelle grosse perte pour nous toutes et tous et pour ton....notre association qui a du mal à se relever !
Aucun membre ou sympathisant de L'AOFFRAC ( Association Ouanienne de Floirac- France- Comores) ne t'oubliera.
Merci infiniment d'avoir contribué à la création de ton... notre association.
Merci infiniment pour ton apport inestimable à ton...notre association.
Tu nous manques et manqueras toujours et profondément.
L,'AOFFRAC sans toi n'est plus et ne sera plus l'AOFFRAC. Sans toi, l'ambiance aoffraquienne n'est plus. Helas !
Repose en paix cher Président, ami, papa, papi...SABASSE. Toi qui as été tout simplement le meilleur d'entre nous.
Tu es et seras toujours là tant que nous sommes et serons là. Nos coeurs sont ton tombeau.
Aujourd'hui, nous prions toutes et tous pour toi, chacun à sa façon et partout.
MERCI INFINIMENT CHER PRESIDENT SABASSE
Tous les membres de l'AOFFRAC
Source : page Facebook de L'AOFFRAC / 29 mars 2023
ÉLIMINATOIRES/ FOOTBALL/ CAN
COMORES C. CÔTE D'IVOIRE
28 MARS 2023
ALLEZ NOS COELACANTHES
ALLEZ LES COMORES
Moi enfant de la Lune,
Moi enfant Coelacanthe,
Aujourd'hui
Je suis vert
Vers la victoire
Je rêve de vivre
La même émotion
La même aura
De notre commentateur fétiche
Comme l'année dernière
La même joie aussi
Le même bonheur aussi
Allez les VERTS
Allez les COELACANTHES
Allez les COMORES
Que retentisse
Udzima wa masiwa
Un peu partout
Que la lune brille
Gagnons ensemble
À MORONI
Aux COMORES
Contre la CÔTE D'IVOIRE
Halidi Allaoui
#VeriPiya #Comores
Madame Nissoiti ( Hassanati) KELDI épouse DIABY ( photo ci-dessus), une de mes premières, ma lune exceptionnelle de Côte d'Ivoire honorée dans son pays d'origine, les Comores
Il était temps ! Je l'attendais depuis longtemps car elle le mérite amplement.
Enfin, c'est arrivé le 9 mars dernier au palais du peuple de Moroni, la capitale des Comores lors de la cérémonie solennelle de remise de prix aux femmes leaders comoriennes dans le cadre de la célébration de la journée internationale de la femme.
Madame Nissoiti ( Hassanati) KELDI épouse DIABY a, en effet, fait partie des Femmes comoriennes honorées ce jour là. Elle a reçu le prix d'honneur pour " ses nombreuses actions qu'elle mène à l'endroit des ressortissants comoriens de la Côte d'ivoire et dans les différents domaines des développements de l'union des Comores " selon Madame la Gouverneure de Ngazidja.
Merci infiniment à Madame la Gouverneure de Ngazidja, une des îles des Comores pour ce choix juste et mérité.
Honorer Madame Nissoiti ( Hassanati) KELDI épouse DIABY dont j'ai publié le portrait l'année dernière (cliquez sur le lien suivant : ( http://halidiallaoui.over-blog.com/2022/03/potrtrait/comores-nissoiti-hassanati-keldi-epouse-diaby-une-des-premieres-aux-comores.html ), c'est tout simplement récompenser l'excellence, le combat pour l'égalité femmes/hommes et le dévouement.
Toutes mes félicitations à Madame Nissoiti DIABY....Maferesheo malibwavu Bweni Hassanati KELDI wa mahaba watru.
Continue à nous montrer le bon chemin à suivre et à nous offrir notre fierté.
Halidi Allaoui
SPORT /BASKET-BALL/ COMORES : LA VILLE D'OUANI AU SOMMET DU BASKET-BALL COMORIEN
AS FAIGAFFE CLUB D'OUANI
USHINDZI CLUB D'OUANI
Un grand bravo et toutes nos félicitations à USHINDZI ( Hommes) et à A S FAIGAFFE ( Femmes), deux clubs de la ville d'OUANI - NDZUWANI ( COMORES ) sacrés champion et championne des COMORES de Basket-ball il y a quelques jours.
En effet, Ushindzi club d'Ouani a battu Djabal basket Iconi sur le score de 67 á 45. Quant à l'AS Faigaffe club d'Ouani, elle est devenue championne des Comores de Basket-ball après sa victoire face à Olympique de Moroni sur le score de 52 à 40.
Content de constater que la ville d'OUANI continue à exceller dans le monde de BASKET-BALL aux COMORES.
Merci de continuer à nous offrir notre FIERTE.
Halidi Allaoui