(Photo : gouvernement Djohar de 1991) HALIDI-BLOG-COMORES |
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LE BLOG DE MADAME HALIDI ALLAOUI
MARIAMA
passionnée des Comores
Une comorofrançaise de OUANI
Ma passion, c'est mon pays natal, les Comores et ma ville, Ouani, ma raison d'être
"S'accepter est le sommet de la lacheté, n'existe que celui
qui se refuse"
SONI LABOU TANSI : La Vie et demie (Paris - Seuil 1979)
"Un homme responsable est celui qui assume ses actes et
défend haut et fort ses convictions. Il
reste maître de sa pensée et refuse de devenir un mouton"
Halidi Allaoui
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Mariama HALIDI
QU'EST CE QUE LA LANGUE COMORIENNE ?
Pour répondre à cette question pertinente, nous vous proposons ci- dessous l'interview du grand linguiste et spécialiste de la langue comorienne, Mohamed-Ahmed Chamanga
NA MKARIBU HARI MWA YI BLOG YANGU
Cet outil va me permettre de vous faire decouvrir mon pays natal et
partager quelques unes de mes passions.......à ma façon !!!!
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CI-DESSOUS LES NEWS RECENTES DES COMORES
(Photo : gouvernement Djohar de 1991) HALIDI-BLOG-COMORES |
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Moroni, vendredi 16 mars 2007 (HZK-Presse) – La question de Mayotte a
été à l’honneur tout l’après-midi d’hier jeudi, dans l’enceinte de l’Assemblée nationale, en présence de Youssouf Moussa, considéré comme une « figure emblématique » de la revendication
comorienne sur cette quatrième île de l’archipel des Comores, restée sous administration de la puissance coloniale.
Ce mahorais qui se bat depuis plus d’un quart de siècle contre la présence française à Mayotte, est venu à Moroni témoigner son « difficile combat en faveur du retour de l’île dans son giron naturel », bravant l’hostilité d’une classe dirigeante mahoraise acquise à « la départementalisation » [statut politique visant à consacrer un « encrage définitif » de Mayotte au sein de la République française, à l’horizon 2010, ndlr]. En collaboration avec le Comité Maore, l’Assemblée de l’Union a organisé une conférence débat sur « les conséquences d’une décolonisation inachevée », qui s’inscrit dans le prolongement des activités de la « semaine anti-coloniale » du 17 au 25 février dernier.
Plusieurs thèmes ont été abordés, notamment celui de « la diplomatie comorienne autour de Mayotte », développé par Ahmed
Thabit, un ancien fonctionnaire des Nations Unies à la retraite, ou « la rupture avec la France », que l’ancien partisan du régime révolutionnaire d’Ali Soilihi [1976-1978], Dini Nassur a
tenté d’expliquer.
Mais le débat a été plus animé lorsque Youssouf Moussa est intervenu sur la situation actuelle à Mayotte et les perspectives de résolution de ce contentieux territorial, qui continue à opposer l’Union des Comores à la France. Ouverte par le vice-président de l’Assemblée Youssouf Said Soilihi, la conférence a donné lieu à divers messages de soutien émanant des partis politiques et organisations de la société civile. Il s’agit d’engager « une vaste réflexion nationale sur le devenir de l’île de Mayotte », dans une stratégie de sensibilisation ciblant particulièrement la classe politique française en cette période électorale, indiquent les initiateurs de cette journée. La suppression du visa d’entrée à Mayotte, instaurée en 1994 par la France, reste toujours d’actualité. La conférence était co-présidée par MM Oukacha Jaffar, président du Comité Maore et le député Assoumani Youssouf Mondoha, président de la Commission parlementaire des relations extérieures. A en croire M. Jaffar, interrogé par HZK-Presse, la conférence a permis « une avancée significative dans l’approche et la compréhension des enjeux de la question de Mayotte », qui revêtirait selon lui plusieurs dimensions jusqu’ici « mal cernées du coté comorien ». C’est dans cette lancée qu’une implication plus active des autres institutions de l’Etat est aussi recommandée, « à l’exemple du parlement qui s’est beaucoup engagé » depuis deux ans sur le dossier mahorais, a-t-il ajouté. Le président de l’Union a été interpellé sur l’engagement que son gouvernement a pris de réintroduire la question de Mayotte à l’ordre du jour de la prochaine Assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies de septembre 2007, après un retrait décidé en 2005 par son prédécesseur le colonel Azali Assoumani.
Source : El-Had Said Omar - 160307/eso/hzkpresse/9h00
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