LU POUR VOUS / ARTICLE PUBLIE PAR MADAGASCAR TRIBUNE
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LE BLOG DE MADAME HALIDI ALLAOUI
MARIAMA
passionnée des Comores
Une comorofrançaise de OUANI
Ma passion, c'est mon pays natal, les Comores et ma ville, Ouani, ma raison d'être
"S'accepter est le sommet de la lacheté, n'existe que celui
qui se refuse"
SONI LABOU TANSI : La Vie et demie (Paris - Seuil 1979)
"Un homme responsable est celui qui assume ses actes et
défend haut et fort ses convictions. Il
reste maître de sa pensée et refuse de devenir un mouton"
Halidi Allaoui
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MESSAGE POUR MES FIDELES VISITEURS :
NOUS VOUS INFORMONS QUE DEPUIS LE 01 DECEMBRE 2013, VOTRE BLOG CREE PAR ALLAOUI HALIDI, IL Y A QUELQUES ANNEES, EST GERE PAR MADAME MARIAMA HALIDI
MERCI DE VOTRE FIDELITE
Mariama HALIDI
QU'EST CE QUE LA LANGUE COMORIENNE ?
Pour répondre à cette question pertinente, nous vous proposons ci- dessous l'interview du grand linguiste et spécialiste de la langue comorienne, Mohamed-Ahmed Chamanga
NA MKARIBU HARI MWA YI BLOG YANGU
Cet outil va me permettre de vous faire decouvrir mon pays natal et
partager quelques unes de mes passions.......à ma façon !!!!
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Halidi Mariama (HALIDI-BLOG-COMORES)
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DEPUIS LE 01 DECEMBRE 2013, ALLAOUI HALIDI A CEDE LA RESPONSABILITE DE VOTRE BLOG A MADAME MARIAMA HALIDI.
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CI-DESSOUS LES NEWS RECENTES DES COMORES
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n compte 965 autorisés à passer les épreuves du deuxième groupe, soit 16,84%, toutes séries confondues, contre 681 en 2006 (sur 4904 inscrits), et 1015
en 2005 (Moroni, lundi 27 août 2007 (HZK-Presse)-Les résultats du baccalauréat session 2007
viennent d’être rendus publics hier lundi, en début de soirée. Sur un total de 5785 candidats inscrits dans l’ensemble des 5 sous centres d’examen de l’île de Ngazidja,
seulement 416 sont déclarés définitivement admis , soit un taux de réussite de 7,26%, contre 274 seulement l’année passée.
On compte 965 autorisés à passer les épreuves du deuxième groupe, soit 16,84%, toutes séries confondues, contre 681 en 2006 (sur 4904 inscrits), et 1015
en 2005 (sur 4537 inscrits).
Le président du jury, M. Fouad Ben Mohadji, a reconnu que les résultats de cette année « sont encore très mauvais », mais la tendance globale « traduirait un léger mieux par rapport à l’année précédente ». En 2005 les résultats du bac révélaient déjà un échec scolaire avec 30% de réussite, confirmant la tendance à la baisse du niveau général des élèves comoriens observée depuis quelques années. En 2004, le taux de réussite était de 37,16%, toutes séries confondues, un score alors considéré comme « alarmant » par les autorités. El-Had Said Omar Source: Agence comorienne de presse (HZK-Presse) |
Enseignement supérieur : Le président de l’Université a démissionné
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Moroni, lundi 11 décembre 2006 (HZK-Presse) –
Le président de l’Université des Comores, Damir Ben Ali a remis sa démission, suite à des divergences avec le nouveau gouvernement sur des décisions de nominations et de limogeages récemment opérés au sein de son institution.
La vacance du poste a été officiellement constaté par le ministre de l’éducation nationale, comme l’exigent les textes statutaires qui prévoient l’élection d’un nouveau président dans un délai d’un mois par les membres des deux instances dirigeantes de l’Université, le conseil d’administration et le conseil scientifique réunis. On invoque entre autres le cas controversé de la nomination de Youssouf Boinahéri au poste de Directeur du département Ressources humaines, précédemment occupé par Toiouilou Mzé Hamadi, ancien chargé de la gestion du patrimoine au département tourisme de l’Institut universitaire et technique (IUT). Une réunion de crise a été convoquée samedi dernier, regroupant enseignants et responsables de l’administration de l’université pour tenter de désamorcer le conflit lié au « test d’admissibilité » qui, selon le secrétaire général adjoint, Ismael Ibouroi, avait été organisé sans implication suffisante de l’institution. « Au vu des résultats [188 admis sur 1100 candidats, soit 16% de réussite] la sincérité et la légalité du test ne sont nullement contestées, ce sont plutôt les conditions d’organisation qui sont critiquables », explique-t-il à HZK-Presse.
Et d’ajouter qu’il était aussi important de « ne pas donner un argument aux séparatistes » dans un contexte sociopolitique déjà assez tendu. Pour sa part, le gouvernement n’aurait pas apprécié le choix opéré par M. Damir Ben Ali dans les récents recrutements d’enseignants, dont les postulants s’avèrent être essentiellement des hauts dignitaires de l’ancien régime du colonel Azali [Maoulana Charif, ancien ministre, Younoussa Ben Imani, ancien Commissaire général au Plan, Mohamed Abdou Mouigni, ancien secrétaire général du gouvernement, etc.]. Estimant avoir agi au regard des seuls critères de compétence, le président de l’Université aurait refusé d’exécuter l’injonction d’annuler ces recrutements, préférant remettre en jeu son propre poste qu’il occupe depuis la création en 2003 de la jeune institution. C’est le vice-président Kamal Affraitane, qui assure actuellement l’intérim. Depuis quelques semaines l’université des Comores traverse une crise interne, consécutive à l’organisation en octobre dernier du test d’admissibilité des élèves anjouanais, suite à la décision des autorités de l’Union de ne pas reconnaître le fameux « baccalauréat anjouanais » de la session 2006, non validé pour cause d’irrégularités. Le doyen de la faculté de Lettres, Moussa Said, avait démissionné avant le président, pour protester contre le recrutement d’enseignants sans que le Conseil scientifique en soit préalablement saisi, en tant qu’organe de l’Université chargé d’examiner les dossiers de candidatures aux différents postes à pourvoir. Le professeur Moussa Said serait également mécontent, sur l’affaire du test d’admissibilité à l’université pour les élèves anjouanais, en reprochant les autorités d’avoir préparé et organisé ce test en dehors de l’institution universitaire dont les responsables ont été selon lui mis sur le fait accompli. Il a été remplacé par Mbaraka Charif Abdallah. Ce lundi matin, un groupe d’étudiants ont sérieusement perturbé les cours au campus universitaire de Mvouni, qui abrite les Facultés de Droit, Lettres, Histoire géographie et Sciences économiques. Ils ont bloqué l’entrée aux étudiants anjouanais admis au test, alors que ces derniers sont munis de leurs documents d’inscription dûment délivrés par l’administration. Ce blocus s’est poursuivi dans la journée alors que le ministre de la justice, Mmadi Ali, assurant l’intérim de son collègue de l’Education nationale en mission à l’extérieur, devait procéder à la remise officielle des premiers bus destinés au ramassage des étudiants. Interrogé par HZK-Presse sur les motivations de ce mouvement, Ali Said, un étudiant en Droit a déclaré que « si on doit admettre nos camarades d’Anjouan, on devait aussi autoriser ceux de Ngazidja et Mwali qui n’ont pas le diplôme du Bac de passer le test d’admissibilité, dans les mêmes conditions ». Au ministère de l’Education on craint « une manipulation politique » des étudiants, à un moment où la rentrée scolaire dans les établissement publics du primaire et secondaire vient juste d’avoir lieu, après une longue grève du corps enseignant. Le syndicat des étudiants, qui a réussi à calmer les esprits a appelé à la reprise des cours dès demain mardi. Dans les couloirs de l’administration de l’université, HZK-Presse a constaté une atmosphère assez lourd, signe d’un certain malaise devant cette « succession de décisions qui semblent faire un peu désordre », selon l’expression d’un membre du conseil d’administration qui a préféré garder l’anonymat. Et de s’interroger sur « l’opportunité » de telles mesures à un moment où le parlement est sur le point d’adopter la loi portant orientation, organisation et fonctionnement de l’université. Des missions étrangères en provenance de La Réunion et de Perpignan (France), attendues cette semaine à Moroni dans le cadre de la coopération universitaire, seraient annulées sine die, a-t-on confirmé à HZK-Presse. El-Had Said Omar Source : Agence comorienne de presse (HZK-Presse) |
Mutsamudu, jeudi 26 octobre 2006 (HZK-Presse) – En dépit du refus officiel des autorités de l’île autonome d’Anjouan de laisser s’organiser à Mutsamudu, le test d’admission à l’université des Comores ouvert aux bacheliers de l’île, des sessions 2006, 2005 et 2004, le test a eu lieu loin du lieu initial prévu et les élèves s’étaient massivement présentés, a constaté HZK-Presse. Paradoxalement, au moment où se déroulait le test, le ministre de l’éducation de l’île M. Ibrahim Mohamed Djaé prenait part à une émission animée par la Radio Télé Anjouan (RTA) et consacrée à l’organisation de ce test. « Je me félicite de la tenue effective du test malgré les menaces verbales proférées par certains responsables de l’île », a déclaré M. Mohamed Nafioun, conseiller technique au ministère des relations extérieures et membre de la commission d’organisation.
L’organisation de ce test ce samedi a été émaillée d’un incident et non le moindre, caractérisé par la fermeture du lycée public de Mutsamudu, où étaient invités à se présenter les candidats à partir de 7 heures, selon un communiqué du coordinateur de l’action gouvernementale de l’Union à Anjouan, M. Anissi Chamsidine.
Tous les accès au lycée étaient fermés le samedi matin, a constaté HZK-Presse. Le transfert de l’organisation dans les bâtiments abritant les établissements scolaires privés a permis d’éviter un débordement des élèves qui semblait inévitable, a affirmé un professeur d’histoire géographie, invité pour la surveillance. « Il est à regretter que des gens se disant responsables aient agi de cette manière », a dit M. Nafioun », tout en remerciant l’implication active du syndicat et des professeurs à l’organisation du test et les responsables des établissements privés qui ont accepté d’accueillir les élèves. Suite à cet incident, les organisateurs ont eu du mal à gérer la situation et à orienter tous les élèves dans les établissements d’accueil. Le Français, la première matière proposée n’aurait débuté qu’avec 4 heures de retard sur l’heure prévue. Il est prévu que les épreuves se poursuivent encore dimanche. Depuis mercredi dernier et après Mutsamudu, des membres du gouvernement de l’île autonome d’Anjouan n’ont pas cessé de sillonner l’île pour tenter de convaincre les élèves et expliquer à leurs parents le bien fondé de leur décision à boycotter le test, a-t-on appris des sources concordantes. La présence massive des élèves dans les salles du déroulement de ce test constitue un coup dur pour le ministère de l’éducation de l’île et un discrédit au gouvernement qui s’était solidarisé et mobilisé sur la question. « J’ai décidé de participer au test, parce que je n’ai pas d’autre choix et je ne sais pas ce que me réserve l’avenir » a confié Roukia Hamidou, bachelière de la dernière session. « Je ne veux pas avoir des regrets après tout, puisque de toute façon, je ne me sens pas concernée par l’histoire de ceux qui auraient eu le bac avec une quelconque aide », a-t-elle ajouté. Près de 800 élèves ont obtenu leur bac à Anjouan lors de la dernière session. Selon des sources de la coordination de l’action gouvernementale de l’union à Anjouan, plus de 1100 candidats étaient attendus à subir le test ce samedi, en tenant compte des candidats des sessions de 2005 et 2004. Hamid Ahmed Source: Agence comorienne de presse (HZK-Presse) |