LE BLOG DE MADAME HALIDI ALLAOUI
MARIAMA
passionnée des Comores
Une comorofrançaise de OUANI
Ma passion, c'est mon pays natal, les Comores et ma ville, Ouani, ma raison d'être
"S'accepter est le sommet de la lacheté, n'existe que celui
qui se refuse"
SONI LABOU TANSI : La Vie et demie (Paris - Seuil 1979)
"Un homme responsable est celui qui assume ses actes et
défend haut et fort ses convictions. Il
reste maître de sa pensée et refuse de devenir un mouton"
Halidi Allaoui
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Mariama HALIDI
QU'EST CE QUE LA LANGUE COMORIENNE ?
Pour répondre à cette question pertinente, nous vous proposons ci- dessous l'interview du grand linguiste et spécialiste de la langue comorienne, Mohamed-Ahmed Chamanga
NA MKARIBU HARI MWA YI BLOG YANGU
Cet outil va me permettre de vous faire decouvrir mon pays natal et
partager quelques unes de mes passions.......à ma façon !!!!
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CI-DESSOUS LES NEWS RECENTES DES COMORES
Crise anjouanaise : H.Kaambi et son «gouvernement » déterminés à conduire Anjouan aux
élections
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Moroni, mardi 14 août 2007 (HZK-Presse) – Le gouvernement de transition et de libération de l’île autonome
d’Anjouan formé la semaine dernière à Moroni s’est fait interdire l’accés à la salle de conférence de l’hôtel Le Moroni, a-t-on appris de sources proches de l’hôtel, mardi en fin
d’après-midi.
Son président, Houmadi Kaambi, qui devait y tenir ce mardi une conférence de presse a fini par recevoir les journalistes à la résidence de l’un de ses membres
, M. Arbabidine Mohamed au quartier de Hamramba à Moroni.
"Un homme qui disait parler au nom des autorités du gouvernement de l'Union des Comores nous a appelé pour nous signifier de fermer la salle, précisant que
cette conférence de presse n'a pas obtenu les autorisations requises", a dit en présence du reporter de La Gazette des Comores, une réceptionniste à M. Abdou Saïd, le ministre des
Finances du gouvernement anjouanais en exil à Moroni.
Le ministre Abdou Saïd qui a refusé gentiment de reprendre les 30.000 FC déjà payés pour la location de la salle, s'est dit troublé de ce geste incompréhensible des autorités de l'Union des Comores, assurant la jeune femme qu'il allait revenir prendre son argent mais après la rencontre avec les journalistes. "Je ne veux pas commenter un acte que je ne comprends pas", a répondu le président Houmadi Kaambi précisant qu'il n'existait aucun problème entre les vues de son équipe et celles des autorités centrales "même si nous ne sommes pas toujours compris par certains". Réagissant aux propos qui prêteraient aux membres de ce gouvernement "en exil", un moyen de lever des fonds auprès du gouvernement de l'Union des Comores, le ministre Abdou Saïd a laissé entendre que l'objectif n'est pas cela. "Nous demandons, il est vrai, l'aide de tous les Comoriens mais pour nous appuyer dans la réflexion et les conseils qui nous sont très précieux", a déclaré Abdou Saïd, qui a souligné que son gouvernement ne souffre pas de problème d'argent même s'il n'en dispose pas. Appuyant ses propos, l'argentier du gouvernement anjouanais en exil à Moroni a indiqué aux journalistes que le conseil des ministres se fait dans ce salon d'une maison en construction, celle de M. Arbabidine Mohamed. Sans se prendre pour le général de gaulle, le ministre des Finances de Houmadi Kaambi a rappelé les difficultés du général puis homme d'Etat français qui a libéré la France à partir de Londres dans des conditions de vie et de travail qui étaient des plus difficiles et des moins confortables. "Nous nous sacrifions pour Anjouan", a-t-il dit avant de poursuivre : "dans ce genre de combat, y a-t-il une place pour le confort et pour l'argent ? Non, je ne le crois pas". « Mon intention n’est pas d’être, demain, candidat à la présidence de l’île autonome d’Anjouan », a dit Houmadi Kaambi. Le numéro un du gouvernement opposé aux rebelles dirigés par Mohamed Bacar a déclaré qu’une fois Anjouan débarrassée de ses tortionnaires il doit « conduire l’île à des élections libres, démocratiques et transparentes et redonner aux Anjouanais leur dignité bafouée par les sbires de Mohamed Bacar ». Balayant d’un revers de la main, les allégations selon lesquelles, ce gouvernement aurait eu la bénédiction du président Sambi, le ministre Arbabidine Mohamed a dit : « nous n’avons consulté personne. Nous sommes mus tout simplement par le fait que la crise n’a que trop duré, Anjouan souffre dans sa chair. Il nous faut en finir avec le séparatisme ». La formation de ce gouvernement a suscité un « débat assez passionnée », selon le président Houmadi Kaambi qui s’est dit « beaucoup conforté » et très content d’avoir, lui et ses compagnons, pris cette grande décision politique. Il faut souligner, enfin, que le président Kaambi qui a dressé une liste des malheurs qui frappent les Anjouanais, a indiqué que la réussite aux examens dans l'île rebelle, aujourd'hui, tient à l'épaisseur de l'enveloppe réclamée par certaines autorités aux parents des pauvres candidats aux divers examens (6e, BEPC et baccalauréat). "Voilà le danger auquel fait face l'enfant anjouanais d'aujourd'hui". Ce serait peut-être la raison qui pousserait les rebelles à refuser l'organisation commune du baccalauréat sur l'ensemble des îles et sous contrôle du ministère de l'Education nationale.
Source : Mohamed Hassani - 140807/ha/hzkpresse/17h00
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