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  • : HALIDI-BLOG-COMORES, Blog des COMORES
  • : BLOG DES COMORES GERE DEPUIS LE 01 DECEMBRE 2013 PAR MARIAMA HALIDI
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A SAVOIR

QU'EST CE QUE LA LANGUE COMORIENNE ?

Pour répondre à cette question pertinente, nous vous proposons ci- dessous l'interview du grand linguiste et spécialiste de la langue comorienne, Mohamed-Ahmed Chamanga

 

 
INTERVIEW DE CHAMANGA PAR RFO EN 2004
 
 
 Le comorien est une langue composée de mots africains, de mots arabes voire parfois de mots portugais et anglais. D'où vient la langue comorienne ?

M.A.C : Le fonds lexical de la langue comorienne est essentiellement « africain » comme vous le dites, et plus précisément bantu. Les emprunts au portugais ou à l'anglais sont relativement faibles. Par contre, l'apport arabe est très important. Cela s'explique par la très forte islamisation des Comores, depuis la Grande Comore(Ngazidja) jusqu'à Mayotte (Maore) en passant par Mohéli (Mwali)et Anjouan (Ndzuwani). Malgré ces emprunts, le comorien (shikomor) reste, sur le plan de sa structure grammaticale, une langue bantu.

Qu'appelle t-on une langue bantu ?

M.A.C : Le bantu est une famille de langues, la plus importante d'Afrique. Les langues qui composent cette famille couvrent pratiquement toute la partie australe du continent noir.

Y a t-il encore aujourd'hui en Afrique ou à Madagascar des populations qui parlent une langue similaire au comorien ?

M.A.C : Bien sûr ! On trouve par exemple le swahili en Tanzanie, le lingala au Congo Démocratique, le kikongo au Congo, le zulu en Afrique du Sud, le shona au Zimbabwe-Mozambique, le tswana au Botswana, le kinyarwanda-kirundi au Rwanda-Burundi, etc. Comme ces langues appartiennent à la même famille, elles ont forcément beaucoup de points communs dans la structure des mots, leurs répartitions dans les phrases, les accords grammaticaux, etc. Elles ont aussi un minimum de vocabulaire commun.
Prenons par exemple le mot bantu ! Ce mot est attesté dans certaines langues, comme le lingala, et il signifie « hommes ». C'est le pluriel du mot muntu qui veut dire « homme » au singulier. Dans d'autres langues, ces mots se déclinent au pluriel en watu (swahili), wantru ou watru ou en encore wandru (shikomor) ; au singulier, nous avons respectivement mtu, muntru, mtru, mndru.
Prenons encore l'exemple de la phrase kinyarwanda suivante qui signifie : « Combien d'hommes ? » : Abantu bangahe ? Nous avons en comorien les équivalences suivantes :Wantru wangapvi ?Watru wangapvi ?Wandru wanga(pvi) ? et en swahili :watu wangapi ?

Ne pensez-vous pas qu'il y a beaucoup de ressemblance dans tout ça ?

M.A.C : A Madagascar, jusqu'au milieu du XXe siècle, il y avait quelques poches bantuphones sur la côte nord-ouest. Mais les langues africaines qui y étaient parlées, le swahili à Marodoka ou le makua à Maintirano, ont aujourd'hui disparu. Le malgache appartient à une autre famille de langues : les langues austronésiennes comme par exemple les langues indonésiennes.

Le comorien est souvent comparé au swahili, parfois on a même dit que le comorien en était dérivé ?

M.A.C: Selon les résultats des recherches des trois dernières décennies, il est prouvé que le comorien et le swahili sont génétiquement issus d'une même souche-mère, d'où leur très grande parenté. Mais les deux langues se seraient séparées aux environs du XIIème siècle. On peut donc dire que ce sont deux langues soeurs. Si la confusion a pu se maintenir jusqu'à une période pas très lointaine, c'était à cause de la très grande proximité des deux langues, mais aussi parce que les sultans des Comores parlaient swahili et beaucoup de correspondances et traités avec les pays voisins ou les puissances étrangères étaient rédigés en swahili qui étaient à l'époque la plus importante langue de communication et du commerce de cette région de l'océan indien occidental.
Par combien de personnes est parlée la langue comorienne?
M.A.C:On peut estimer que la langue comorienne est parlée aujourd'hui par un million de personnes environ : les 750 000 habitants de l'archipel des Comores plus la très importante diaspora comorienne, que l'on peut retrouver notamment à Madagascar, à Zanzibar ou encore en France.

Est-elle enseignée à l'école ? Si non pourquoi ?

M.A.C: Malheureusement, elle ne l'est pas. Pourquoi ? Parce que : Premièrement, la colonisation française, avec sa mission « civilisatrice », n'avait jamais reconnu au peuple dominé une quelconque culture ou civilisation et que les langues des dominées n'étaient pas des langues mais, avec un sens très péjoratif, des dialectes qui n'avaient ni vocabulaire développé ni grammaire.
Deuxièmement, le pouvoir très centralisateur de l'Etat français avait imposé le français comme la seule langue de l'administration partout. Cela était vrai dans les colonies, mais aussi en métropole. C'est ainsi qu'on a banni l'enseignement du breton en Bretagne, du basque au Pays Basque (Sud-Ouest de la France).
Troisièmement enfin, nous avons nous-mêmes fini par admettre que notre langue est pauvre et sans grammaire. Elle ne peut donc pas être enseigné. Il faut encore souligner qu'avec l'instabilité chronique des Comores indépendantes, aucune réflexion sérieuse n'a pu être menée sur la question. Pourtant, les pédagogues sont unanimes : pour permettre l'épanouissement des enfants, il est nécessaire que ces derniers puissent s'exprimer pleinement dans leur langue maternelle...

Y a t-il une ou des langues comoriennes ?

M.A.C:Nous avons la chance d'avoir une seule langue comorienne, depuis Ngazidja jusqu'à Maore. Mais comme toute langue, le comorien se décline en plusieurs dialectes qui en sont les variantes régionales : le shingazidja à la Grande Comore, le shimwali à Mohéli, le shindzuani à Anjouan et le shimaore à Mayotte.

Comment expliquer l'apparition de divers dialectes sur un territoire aussi exiguë que les Comores ?

M.A.C : Ce phénomène n'est pas spécifique au comorien. Toute langue est formée de plusieurs dialectes. La dialectalisation s'accentue lorsqu'il y a peu de communications et d'échanges entre les régions. A l'inverse, le déplacement d'une population qui parle un dialecte donné vers une autre région où l'on parle un autre dialecte peut également entraîner des changements dans les deux dialectes. Pour le cas des Comores, le facteur du peuplement par vagues successives au cours de l'histoire explique aussi le phénomène.
Les différences dialectales peuvent aussi s'observer à l'intérieur de chaque île. C'est ainsi, par exemple en Grande Comore, que la manière de parler des gens de Mbéni dans la région du Hamahamet diffère du parler des gens de Fumbuni dans la région du Mbadjini. Il en est de même à Anjouan entre les gens de Mutsamudu, sur la côte nord, et ceux du Nyumakele, dans le sud-est de l'île, ou encore, à Mayotte, entre Mamoudzou et Kani Bé ou Mwana-Trindri dans le sud, etc.

Un mot sur la langue mahoraise.

M.A.C:Le shimaore appartient au même sous-groupe dialectal que le shindzuani. C'est dire qu'il faut souvent écouter attentivement pour percevoir les différences entre ces deux dialectes. Le shimaore fait ainsi partie intégrante de la langue comorienne.

Le comorien s'enrichit-il ou s'appauvrit-il (avec le phénomène de créolisation de la langue) ?

M.A.C : Parler à l'heure actuelle de créolisation de la langue comorienne est quelque peu exagéré. Certes elle ingurgite aujourd'hui beaucoup de mots d'origine française. Mais cela reste « raisonnable ». Le comorien a emprunté énormément de vocabulaire d'origine arabe, environ entre 30 et 40 % du lexique, pourtant on ne parle pas de créole arabe, et cela à juste titre. En effet, ce qui fonde une langue, ce ne sont pas seulement les mots. Ce sont surtout sa structure grammaticale et sa syntaxe. De ce point de vue, le comorien ne ressemble ni à l'arabe ni au français.
On ne peut pas dire que le comorien s'appauvrit. Essentiellement oral, il répond parfaitement à nos besoins de communication. Il est toutefois évident qu'une langue écrite possède un stock lexical beaucoup plus étendu qu'une langue orale. Ne vous inquiétez pas pour le comorien. Si un jour, on décide de l'écrire, de l'enseigner et de l'utiliser dans l'administration, il ne pourra que s'enrichir. Il s'enrichira en se forgeant des mots nouveaux ou en empruntant d'autres ailleurs, comme cela se fait dans les langues dites de « grande civilisation ».

Où en est actuellement la recherche sur la langue comorienne ?

M.A.C: La recherche sur la langue comorienne avance ; trop lentement peut-être, mais elle avance. Nous avons aujourd'hui une meilleure connaissance sur elle qu'il y a vingt ans. Malheureusement, c'est un domaine qui intéresse peu de monde, aussi bien chez les nationaux que chez les chercheurs étrangers.

Pensez-vous qu'un jour tous les Comoriens parleront la même langue ? Et sur quoi se fonderait cette sédimentation en une seule langue « nationale » ?

Mohamed Ahmed-Chamanga : Nous parlons déjà la même langue. Ce qui nous manque, c'est une langue standard, comme en Tanzanie avec le swahili, à Madagascar avec le malgache, ou en encore au Zimbabwe avec le shona, etc. Pour arriver à ce stade, il faut qu'il y ait une réelle volonté politique, une prise de conscience chez les Comoriens de vouloir mieux apprivoiser leur propre culture et que soit mise en place une équipe de chercheurs qui se pencherait sur la question et qui proposerait cette langue standard qui serait utilisée dans tout l'archipel des Comores.

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DEPUIS LE 01 DECEMBRE 2013, ALLAOUI HALIDI A CEDE LA RESPONSABILITE DE VOTRE BLOG A MADAME MARIAMA HALIDI.

 

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CI-DESSOUS LES NEWS  RECENTES  DES COMORES

 

 

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A PROPOS DE OUANI

Ouani et ses grands hommes
 
 
L’être humain est insignifiant puisque le corbeau et beaucoup d’autres espèces d’arbres vivent plus longtemps que lui. De ce court séjour dans ce bas monde à la différence d’autres êtres vivants, l’homme peut marquer de son empreinte l’histoire.
A OUANI, ce genre d’homme malgré sa rareté, a existé et continu à exister jusqu’à nos jours. En ouvrant ce nouveau chapitre, quelques dignitaires en collaboration avec le comité de pilotage de la ville ont tenu à rendre hommage beaucoup d’hommes et de femmes qui ont fait du bien à cette ville.
En dehors de tout jugement, ils ont fait de leur mieux pour que Ouani devienne l’une des grandes villes les plus rayonnantes des Comores et Ouani l’est grâce à eux. Elle doit continuer à l’être pour nous et les générations à venir.
A titre posthume, nous tirons la révérence devant Saïd Toiha (Baco Moegné), Saïd Abdou Bacar Nomane, Saïd Abdou Sidi et Saïd Andria Zafi.
 
Le premier pour avoir créé la première école privée de la ville dans l’objectif de ne plus avoir un enfant de six à sept ans non scolarisé, le second qui a été le premier à être ministre et dont les louanges dépassent les frontières de la ville, le troisième a accompagné plusieurs années la jeunesse et le dernier a beaucoup contribué au niveau de l’enseignement primaire par son dévouement et son engagement à instruire ceux qui l’ont fait pour nous. Cette liste vient de s’ouvrir et n’est pas prête de se fermer ; beaucoup d’autres personnes disparues ou vivant tels que les enseignants apparaîtront à la prochaine édition.
Ansaly Soiffa Abdourrahamane
 
Article paru en 2003 dans le n° 0 de Jouwa, bulletin d’information de OUANI
 
 
 
 
LES ENFANTS DE LA VILLE DE OUANI
ET L’HISTOIRE   DES COMORES
 
 Beaucoup d’enfants de la ville de OUANI ont marqué et marqueront toujours l’histoire de leur pays : les îles Comores.
 
 En voici quelques uns dans différents domaines.
 La liste n’est pas exhaustive
 
 I) LITTERATURE
 
LITTERATURE ORALE
 
ABDEREMANE ABDALLAH dit BAHA PALA
 
Grand connaisseur du passé comorien décédé brusquement en 1988.
Actuellement, un projet de publication de sa biographie est en étude.
On trouve beaucoup de ses témoignages sur l’histoire des Comores dans le tome 2 de l’excellente thèse de SIDI Ainouddine sur la crise foncière à Anjouan soutenue à l’INALCO en 1994 
 
LITTERATURE ECRITE
 
Mohamed Ahmed-CHAMANGA
 
Grand linguiste des Comores
 
 Né à Ouani (Anjouan) en 1952, Mohamed Ahmed-Chamanga, diplômé de swahili et d'arabe, a fait des recherches linguistiques sur sa langue maternelle. Il enseigne la langue et la littérature comorienne à l'Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco). Il est l'auteur d'une thèse, de plusieurs articles, ainsi que d'un recueil de contes de l'île d'Anjouan : Roi, femmes et djinns (CLIF, 1998). Président de l'Association Fraternité Anjouanaise, Mohamed Ahmed-Chamanga a fondé, en 1997, le journal Masiwa.
 Il enseigne actuellement la langue et la littérature comoriennes à l’Institut National des Langues et Civilisations Orientales de Paris (INALCO).
 
AINOUDINE SIDI
 
 Historien & grand spécialiste de l’histoire foncière des Comores 
 
 Né à OUANI, en 1956. Il a fait des études d’histoire à l’université de DAKAR (SENEGAL) et a préparé un doctorat d’études africaines à l’INALCO (PARIS)  Il est actuellement chercheur et Directeur du CNDRS (Centre National de Documentation et de Recherches Scientifiques) à MORONI.
 
 II) MUSIQUES & CHANTS
 
DHOIFFIR ABDEREMANE
 
Un des fondateurs de l’orchestre JOUJOU des Comores.
Avec ses chansons axées sur la contestation sociale. Il fait partie des premiers artistes qui ont introduit aux années 60 une nouvelle forme de musique aux COMORES.
 
C’est un homme très discret mais plein de talents. On se souviendra toujours de ses productions à la salle AL CAMAR de MORONI.
 
FOUDHOYLA CHAFFI
 
 Une des premières femmes comoriennes à avoir fait partie d’un orchestre musical.
 Il s’agit là d’un engagement incontestable de la part d’une femme comorienne.
 Elle a commencé à jouer un rôle important dans la chanson à partir de 1975 comme chanteuse principale de l’orchestre JOUJOU des Comores.
Sa voix d’or résonne toujours dans le cœur de tous ceux qui ont vécu dans notre pays de 1975 à 1978. On ne passait pas en effet, une seule journée sans entendre une de ses chansons sur l’égalité des sexes, l’unité des Comores, le changement des mentalités… à la radio nationale.
 
 III) POLITIQUE
 
Le sultan ABDALLAH III
 
 De mère ouanienne, il est l’un des grands sultans qui ont régné dans l’archipel des Comores au 18eme siècle et plus précisément sur l’île d’Anjouan.
 
SITTOU RAGHADAT MOHAMED
 
La première femme ministre et élue député des COMORES
 
Né le 06 juillet 1952 à OUANI. Elle a enseigné pendant plusieurs années le français et l’histoire géographie dans différents collèges du pays avant d’être nommée secrétaire d’Etat à la condition féminine et à la population en 1991.
De 1991 à 1996 elle a assumé de hautes responsabilités politiques : Haut commissaire à la condition féminine, Ministres des affaires sociales, conseiller spécial du président de la république, secrétaire général adjoint du gouvernement, élue députée ….
Actuellement, elle est enseignante à l’IFERE et Présidente du FAWECOM.
 
Article publié sur le site de l'AOFFRAC (www.aoffrac.com)
 
 
 
 
 
 

 

 

 

 

 

9 septembre 2009 3 09 /09 /septembre /2009 08:35
Chers visiteurs du Blog HALIDI-BLOG-COMORES

Nous attirons votre attention sur le piratage de l'une des adresses e.mail d'  Amroine DARKAOUI que nous connaissons. En effet, des pirates ou malfaiteurs ont réussi à utiliser son adresse email pour envoyer un message de demande d'aide en Anglais le 07 septembre 2009 à ses contacts et à d'autres internautes (voir ci-dessous).

Nous tenons à vous informer qu'Amroine Darkaoui n'est pas du tout l'expéditeur dudit message. Nous avons  eu la confirmation de sa part. D'où la nécessité de vérifier toujours les messages que vous recevrez avec l'usage de son adresse email.

D'autres internautes ont peut être réçu un message similaire mais avec l'usage d'une adresse d'un de leurs contacts. Qu'ils fassent tout simplement attention pour ne pas tomber dans un piège.

Merci de faire diffuser l'information.

Halidi Allaoui (HALIDI-BLOG-COMORES)



--- En date de : Lun 7.9.09, Amroine DARKAOUI <> a écrit :

De: Amroine DARKAOUI <>
Objet: Help Please
À:
Date: Lundi 7 Septembre 2009, 21h04

I recently traveled on an invitation for a conference to London United Kingdom before the Unfortunate thing happened to me, some armed robbers visited my room at the hotel where i lodged and robbed me of all the money i brought , my phone , my return ticket e.t.c , I know it a bit strange for me to have contacted you under this situation and time, believe me because i have limited access to people and i have chosen you in time of need. I would have call but i also lost my phone during the incident, i don't have any money here to eat or even make call ,because i trust and hope that you can help me that is why i have decided to contact you.

I cannot get to the person i came here to meet because i lost my phone where his phone number were kept ,he does not even know where i am now, I am so confused right now, I don't know what to do or where to go,I have access to only emails, No Phone, Please can you loan and send me $1,800 today so i can return home, As soon as i get home i would refund it immediately ,you need to help me have it sent through Western Union money Transfer because there is no account here, here is the details you will need to use in sending it right away please: I am sending the details that you will need to send the money in jiffy so that once i come to check the mail you would have sent the money

Name: Amroine Darkaoui
Address:  32 Southampton Row, London, WC1B 4BH
Amount: $1,800

I trust that you will be very kind and show mercy to my present ordeal. Help! let me have some relief. Any amount that you send will be refunded. You know my value and worth, i am also making it know to you to keep the matter secret I have ask you to loan me the money because i believe i can count on you and believing in my heart that i can trust you with my problem.

    Write me immediately so that i know when you will have sent it, and immediately you have sent it , scan and send me the western union money transfer receipt or just write out the details on the receipt and send to me. Please keep this to your self only please, this embarrassment is enough..

Amroine.

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17 juillet 2009 5 17 /07 /juillet /2009 08:33

Le samedi 18 juillet prochain (demain) aura lieu à la bibliothèque de Pamandzi une représentation à partir de 10 h 30 . Une pièce de théâtre écrite et mise en scène par Adjmaël Halidi , jouée par les Gockos de l'association Utamaduni , avec une musique de Pascal Eugénie et une chanson de Kathy Forestier . L'entrée est libre .

Vous êtes tous invités à honorer le spéctacle de votre présence .

Adjmaël Halidi
Web-site :
www.adjmael-halidi.com
Téléphone :(00 269) 337 65 61
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7 juillet 2009 2 07 /07 /juillet /2009 21:07
Bonjour  à tous

L'association AOCoF ( Association des Originaires des Comores en France) organise une prière en mémoire des disparus du crash du 30 juin

le samedi  11 juillet 2009 à 14heures
à la salle Charles de Gaulles 18 rue buissonnière
77600 Bussy saint Georges.

Pour tout renseignement: contacter Mme AHMED Toilhati au 06 61 06 93 00

Merci de diffuser cette invitation à vos amis, voisins , comoriens et tout autre personne  souhaitant se joindre à nous.
Comptant sur votre présence


RER A direction marne le vallée - Chessy arrêt Bussy Saint Georges
la salle se situe à côté de l'école  primaire Jean de la Fontaine ( centre ville - derrière la poste)
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1 juillet 2009 3 01 /07 /juillet /2009 20:53
Annonce de l'AOCOF (Association des Originaires des Comores en France) du 1er juillet 2009

Cher amis ,
 
Nous sommes dans le regret de vous annoncer l'annulation du pique nique qui devait se tenir à la base de loisirs de Sarcelles le 4 juillet  prochain.
 
A l'ampleur du drame qui vient de toucher la communauté comorienne en France doit répondre notre mobilisation aux côtés des familles de nos cousins disparus.
 
Nous vous prions de relayer l'information auprès de vos proches
 
 
Pour le Bureau de l'AOCOF
Le Trésorier
Nasser HASSANI
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4 mars 2009 3 04 /03 /mars /2009 10:57
VENDREDI DE L'ARC EN CIEL

Thématique : « Comment la Femme comorienne peut faire face aux enjeux Economique et Politiques du monde moderne? »
 Vendredis de l’Arc-en-ciel Thématique : « Comment la Femme comorienne peut faire face aux enjeux Economique et Politiques du monde moderne? »
En l'honneur de la journée internationale de la Femme le 08 mars 2009, l'Equipe de "POLITIQUEMENT VôTRE "de la Radio Web www.connexion.fm de Londres en collaboration avec l'association "ARC EN CIEL" consacreront une Spéciale Conférence le vendredi 06 mars 2009. Universté Paris8 Bât C-Salle-C007

 
Thématique : « Comment la Femme comorienne peut faire face aux enjeux Economique et Politiques du monde moderne? »

Conférencières : Charifa Madi, Dalila Ahmed et Wasilati Mbae

Etudiante en Recherche et Evaluation à la London Metropolitan Universty, Dalila Ahmed s'est spécialisée sur l'Histoire orale. Dalila axe sa recherche sur de multiples thèmes, notamment la «femme actrice du développement», «perception du masculin et du féminin dans la culture comorienne à travers les générations» ou encore l'écotourism. Journaliste, Charifa Madi anime l'émission Politiquement Votre sur Connexion FM, une radio francophone diffusée sur le Web depuis la métropole britannique. Chef d'entreprise, Wasilati Mbae est fondatrice de la société Uzuri. Elle s'est spécialisée dans la création de cosmétiques à base d'Ylang Ylang des Comores.

Conférence animée par Ismaël Mohamed Ali (journaliste) et Ibrahim Barwane (doctorant en anthropologie et comédien)
Association des étudiants comoriens de paris8.
2 rue de la Liberté - 93526 St Denis cedex
Tel : 01-48-27-17-51
mail :
Ibarwane@gmail.com
M° : Saint-Denis Université
(ligne 13)
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1 mars 2009 7 01 /03 /mars /2009 20:23
 
A l'aube du referendum constitutionnel aux Comores, l'association Les amis de l'Université des Comores organise le samedi 7 mars 2009 une « Table ronde sur la révision constitutionnelle aux Comores ». Cette table ronde a pour but d'offrir un cadre d'échange et de dialogue sur le projet de révision constitutionnelle. Elle sera animée par des jeunes chercheurs comoriens désireux d'apporter leurs éclairages. Les personnes qui souhaitent y prendre part sont priées de s'inscrire au plus tard le lundi 2 mars. Cette rencontre participe à une réflexion en cours sur les institutions politiques comoriennes. Un colloque interdisciplinaire est prévu à cet effet pour la fin 2009.
Inscrivez-vous par mail lesamiduc@yahoo.fr et si vous souhaitez déjeuner sur place, prévoyez 15 euros.

Adresse : Mairie du 15e, 31 rue Peclet, 75015 Paris
Métro : Vaugirard
Bus : 39, 70, 80, 88, arrêt mairie du 15e

Programme de la Table ronde sur la révision constitutionnelle aux Comores
1- Matin :
9H à 10H00 : Accueil des participants et petit déjeuner
10H00
Ouverture de la Table ronde par Said Mohamed Saïd Hassane
__________________________________________________________________________________
10h05 :
La naissance du nouvel ensemble comorien : la Constitution du 23 décembre 2001
Présidence Mahmoud Ibrahime

10h10 :
Said Abasse AHAMED, doctorant en sciences politiques
« Retour sur les négociations et la sortie de crise »
10h25 :
Kamlati Bacar, Enseignante
« La genèse de la Constitution du 23 décembre 2001 aux Comores »
10h40 :
Kamal Saïd
, doctorant en anthropologie du droit, Université Paris 1,
« La crise identitaire et la naissance des nouvelles institutions comoriennes »
10h55 :
Abdelaziz Riziki, Docteur en droit de l'Université de Rabat (Maroc)
« Le constitutionnalisme comorien »
11h20 :
Débat
__________________________________________________________________________________
Pause déjeuner de 12h00 à 14h00
__________________________________________________________________________________
Après-midi
14h00 :
Les caractères essentiels de la Constitution du 23 décembre 2001
Présidence Elanrif Saïd Hassane
14h05 :
Saïd Mohamed Said Hassane, Docteur en droit de l'Université d'Orléans
14h20 :
Ben Cheikh Charaf, doctorant en droit constitutionnel
« La constitution et l'autonomie des îles »
14h35 :
Moncef Saïd Ibrahim, juriste
« La constitution à l'épreuve de la pratique »
14h55 :
Débats

__________________________________________________________________________________
Pause 15h45 à 16h00
__________________________________________________________________________________
16h00 :
La Constitution du 23 décembre 2001 doit-elle évoluer ?
Présidence Saïd Mohamed Said Hassane
16h05 :
Kambi Abdelatuf, doctorant en gestion, Université de Saint-Quentin-en-Yvelines
« L'Etat, c'est d'abord un concept économique »
16h20 :
Youssouf Saadi, doctorant en droit constitutionnel
« Analyse commentée du projet de révision constitutionnelle »
16h35 :

Halidi Allaoui, juriste
« Quelle union pour les Comores ? »
16h55 :
Débat
17h45 :

Synthèse et clôture des travaux par Mahmoud Ibrahime
__________________________________________________________________________________
Le comité scientifique :
Abdelaziz Riziki, Docteur en droit
Elanrif Said Hassane, Docteur en science politique, conseiller à l'ambassade des Comores
Mahmoud Ibrahime, Docteur en Histoire, professeur de lycée
Said Abasse Ahmed, Doctorant en science politique, collaborateur parlementaire
Said Mohamed Said Hassane, Docteur en droit, attaché d'enseignement et de recherche à l'université d'Orléans.
Table Ronde organisée conjointement par les Amis de l'Université et la revue Tarehi
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27 février 2009 5 27 /02 /février /2009 09:27
A l’occasion  de leur 2ème anniversaire, les Editions de La Lune organisent, le samedi 28 février 2009,un café littéraire spécial. Ce café se tiendra à L’Espace le Scribe L’Harmattan au 21 bis, rue des écoles 75005 Paris de 18H30 à 22H.

Vous serez en compagnie de douze écrivains, des essayistes et des musiciens. Ce sera un grand moment de dialogues, de rencontre et de convivialité

Nous vous attendons nombreux pour Café littéraire de la Lune.

Auteurs présents :

Sophie Kuoch
Noël Walterthum
Sylvain HARIGA
Florence Kasprzycki
Abdoulatuf Bacar
Luc Chaumette
Patrice Ahmed Abdallah,
Oupa Diossine LOPPY
Bruno Bonvalet
Colette Coquis
Souef Mohamed El-Amine

Intermédes en musique avec :

Artistes présents

Nicolas Peigney
Ali M. Boléro
Noël Walterhum

--
Les éditions De La Lune
www.editions-delalune.com
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23 février 2009 1 23 /02 /février /2009 16:34

JOURNEE CULTURELLE DES ILES COMORES

 
 
SAMEDI  11 AVRIL 2009 
à  partir de
12H00
Salle   ROLAND   BARTHES
Centre Animation  Haut  Floirac
Rue VOLTAIRE -  33270 FLOIRAC
(Près de BORDEAUX)
 
Organisée par l  ’  A.O.F.Fra.C
Association Ouanienne - Floirac – France – Comores
 
  
P    R    O    G    R    A    M    M    E  
 
A  PARTIR  DE 12 H 00
 
v     EXPOSITION CULTURELLE 
v     RESTAURATION SUR PLACE (spécialités comoriennes)
 
 
A PARTIR DE 15 H 00
 
v   DANSES, CHANTS :  Kandza , Tari , Chigoma , Mchogoro, Wadaha , Mgodro,…     
 
A  PARTIR  DE  21 H 00
 
v     SOIREE DANSANTE (Dombolo, Soukouss, Zouk, Reggae, Salsa, … )
 
RENSEIGNEMENTS          05 56 40 23 22 ( Sabasse)    06 61 70 15 06 (Halidi)
06 64 85 41 26 (Sayirah)    06 31 16 42 73 (Moktar)    

  ENTREE : 10 euros   (Gratuit pour les moins de 12 ans accompagnés)
                                                                                 
* Accès Bus : Ligne 6 en direction de la Buttinière , Arrêt DRAVEMONT                                    

PLAN D ACCES
* Accès Voiture : Rocade, sortie 24 HAUT FLOIRAC, ensuite au feu prendre
à droite  (salle située derrière les immeubles en face du magasin LIDL)         
*Autre information : lundi  13 avril  2009 est un jour férié ( lundi de Paques )
 
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17 février 2009 2 17 /02 /février /2009 22:34

Conférence-débat le vendredi 20 février 2009, à 18h, Bât C, salle CO22 à l'Université de Saint Denis Paris 8

Problématique :

«La Révolution de la paysannerie pauvre et des esclaves à Anjouan en 1891 »

Conférencier :    Jean Martin, Historien


Jean Martin est l'auteur d'un ouvrage conséquent sur l'archipel des Comores : « Comores, quatre îles entre pirates et planteurs », publié aux Editions l'Harmattan en 1983 et 1984. Professeur émérite d'Histoire à l'Université de Lille III, Jean Martin  est spécialiste de la colonisation et de la décolonisation, du monde musulman au XIXe siècle ainsi que des Comores.

 

Le devoir d'engagement en faveur des Comores : une participation de vous tous au service du co-développement !

Conférence animée par Ismaël Mohamed Ali (journaliste) et Ibrahim Barwane (doctorant en anthropologie et comédien)

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10 février 2009 2 10 /02 /février /2009 23:44

Table ronde sur la révision constitutionnelle aux Comores

A l’aube du referendum constitutionnel aux Comores, l’association Les amis de l’Université des Comores organise  le samedi 7 mars 2009 une « Table ronde sur la révision constitutionnelle aux Comores ». Cette table ronde a pour but d’offrir un cadre d’échange et de dialogue  sur le projet de révision constitutionnelle. Elle sera animée par des jeunes chercheurs comoriens désireux d’apporter leurs éclairages. Les personnes qui souhaitent y prendre part sont priées de s’inscrire au plus tard le lundi 2 mars. Cette rencontre participe à une réflexion en cours sur les institutions politiques comoriennes. Un colloque interdisciplinaire est prévu à cet effet pour la fin 2009.

Inscrivez-vous par mail lesamiduc@yahoo.fr et si vous souhaitez déjeuner sur place, prévoyez 20 euros.

 

Adresse : Mairie du 15e, 31 rue Peclet, 75015 Paris

Métro : Vaugirard

Bus : 39, 70, 80, 88, arrêt mairie du 15e

               

Programme de la Table ronde sur la révision constitutionnelle aux Comores


 9H à 9H30 : Accueil des participants et petit déjeuner

9H30 à 12H

La naissance du nouvel ensemble comorien : la Constitution du 21 décembre 2001





11H30 à 13H30 : Déjeuner


Les caractères essentiels de la Constitution du 21 décembre 2001




16H à 16H15 Pause

16H15 à 17H45

La Constitution du 21 décembre 2001 doit-elle évoluer ?




18H

Clôture des travaux

 

Le comité scientifique :

Abdelaziz Riziki, Docteur en droit

Elanrif  Said Hassane, Docteur en science politique, conseiller à l’ambassade des Comores

Mahmoud Ibrahime, Docteur en Histoire, professeur de lycée

Said Abasse Ahmed, Doctorant en science politique, collaborateur parlementaire

Said Mohamed Said Hassane, Docteur en droit, attaché d’enseignement et de recherche à l’université d’Orléans

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