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  • : HALIDI-BLOG-COMORES, Blog des COMORES
  • : BLOG DES COMORES GERE DEPUIS LE 01 DECEMBRE 2013 PAR MARIAMA HALIDI
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A SAVOIR

QU'EST CE QUE LA LANGUE COMORIENNE ?

Pour répondre à cette question pertinente, nous vous proposons ci- dessous l'interview du grand linguiste et spécialiste de la langue comorienne, Mohamed-Ahmed Chamanga

 

 
INTERVIEW DE CHAMANGA PAR RFO EN 2004
 
 
 Le comorien est une langue composée de mots africains, de mots arabes voire parfois de mots portugais et anglais. D'où vient la langue comorienne ?

M.A.C : Le fonds lexical de la langue comorienne est essentiellement « africain » comme vous le dites, et plus précisément bantu. Les emprunts au portugais ou à l'anglais sont relativement faibles. Par contre, l'apport arabe est très important. Cela s'explique par la très forte islamisation des Comores, depuis la Grande Comore(Ngazidja) jusqu'à Mayotte (Maore) en passant par Mohéli (Mwali)et Anjouan (Ndzuwani). Malgré ces emprunts, le comorien (shikomor) reste, sur le plan de sa structure grammaticale, une langue bantu.

Qu'appelle t-on une langue bantu ?

M.A.C : Le bantu est une famille de langues, la plus importante d'Afrique. Les langues qui composent cette famille couvrent pratiquement toute la partie australe du continent noir.

Y a t-il encore aujourd'hui en Afrique ou à Madagascar des populations qui parlent une langue similaire au comorien ?

M.A.C : Bien sûr ! On trouve par exemple le swahili en Tanzanie, le lingala au Congo Démocratique, le kikongo au Congo, le zulu en Afrique du Sud, le shona au Zimbabwe-Mozambique, le tswana au Botswana, le kinyarwanda-kirundi au Rwanda-Burundi, etc. Comme ces langues appartiennent à la même famille, elles ont forcément beaucoup de points communs dans la structure des mots, leurs répartitions dans les phrases, les accords grammaticaux, etc. Elles ont aussi un minimum de vocabulaire commun.
Prenons par exemple le mot bantu ! Ce mot est attesté dans certaines langues, comme le lingala, et il signifie « hommes ». C'est le pluriel du mot muntu qui veut dire « homme » au singulier. Dans d'autres langues, ces mots se déclinent au pluriel en watu (swahili), wantru ou watru ou en encore wandru (shikomor) ; au singulier, nous avons respectivement mtu, muntru, mtru, mndru.
Prenons encore l'exemple de la phrase kinyarwanda suivante qui signifie : « Combien d'hommes ? » : Abantu bangahe ? Nous avons en comorien les équivalences suivantes :Wantru wangapvi ?Watru wangapvi ?Wandru wanga(pvi) ? et en swahili :watu wangapi ?

Ne pensez-vous pas qu'il y a beaucoup de ressemblance dans tout ça ?

M.A.C : A Madagascar, jusqu'au milieu du XXe siècle, il y avait quelques poches bantuphones sur la côte nord-ouest. Mais les langues africaines qui y étaient parlées, le swahili à Marodoka ou le makua à Maintirano, ont aujourd'hui disparu. Le malgache appartient à une autre famille de langues : les langues austronésiennes comme par exemple les langues indonésiennes.

Le comorien est souvent comparé au swahili, parfois on a même dit que le comorien en était dérivé ?

M.A.C: Selon les résultats des recherches des trois dernières décennies, il est prouvé que le comorien et le swahili sont génétiquement issus d'une même souche-mère, d'où leur très grande parenté. Mais les deux langues se seraient séparées aux environs du XIIème siècle. On peut donc dire que ce sont deux langues soeurs. Si la confusion a pu se maintenir jusqu'à une période pas très lointaine, c'était à cause de la très grande proximité des deux langues, mais aussi parce que les sultans des Comores parlaient swahili et beaucoup de correspondances et traités avec les pays voisins ou les puissances étrangères étaient rédigés en swahili qui étaient à l'époque la plus importante langue de communication et du commerce de cette région de l'océan indien occidental.
Par combien de personnes est parlée la langue comorienne?
M.A.C:On peut estimer que la langue comorienne est parlée aujourd'hui par un million de personnes environ : les 750 000 habitants de l'archipel des Comores plus la très importante diaspora comorienne, que l'on peut retrouver notamment à Madagascar, à Zanzibar ou encore en France.

Est-elle enseignée à l'école ? Si non pourquoi ?

M.A.C: Malheureusement, elle ne l'est pas. Pourquoi ? Parce que : Premièrement, la colonisation française, avec sa mission « civilisatrice », n'avait jamais reconnu au peuple dominé une quelconque culture ou civilisation et que les langues des dominées n'étaient pas des langues mais, avec un sens très péjoratif, des dialectes qui n'avaient ni vocabulaire développé ni grammaire.
Deuxièmement, le pouvoir très centralisateur de l'Etat français avait imposé le français comme la seule langue de l'administration partout. Cela était vrai dans les colonies, mais aussi en métropole. C'est ainsi qu'on a banni l'enseignement du breton en Bretagne, du basque au Pays Basque (Sud-Ouest de la France).
Troisièmement enfin, nous avons nous-mêmes fini par admettre que notre langue est pauvre et sans grammaire. Elle ne peut donc pas être enseigné. Il faut encore souligner qu'avec l'instabilité chronique des Comores indépendantes, aucune réflexion sérieuse n'a pu être menée sur la question. Pourtant, les pédagogues sont unanimes : pour permettre l'épanouissement des enfants, il est nécessaire que ces derniers puissent s'exprimer pleinement dans leur langue maternelle...

Y a t-il une ou des langues comoriennes ?

M.A.C:Nous avons la chance d'avoir une seule langue comorienne, depuis Ngazidja jusqu'à Maore. Mais comme toute langue, le comorien se décline en plusieurs dialectes qui en sont les variantes régionales : le shingazidja à la Grande Comore, le shimwali à Mohéli, le shindzuani à Anjouan et le shimaore à Mayotte.

Comment expliquer l'apparition de divers dialectes sur un territoire aussi exiguë que les Comores ?

M.A.C : Ce phénomène n'est pas spécifique au comorien. Toute langue est formée de plusieurs dialectes. La dialectalisation s'accentue lorsqu'il y a peu de communications et d'échanges entre les régions. A l'inverse, le déplacement d'une population qui parle un dialecte donné vers une autre région où l'on parle un autre dialecte peut également entraîner des changements dans les deux dialectes. Pour le cas des Comores, le facteur du peuplement par vagues successives au cours de l'histoire explique aussi le phénomène.
Les différences dialectales peuvent aussi s'observer à l'intérieur de chaque île. C'est ainsi, par exemple en Grande Comore, que la manière de parler des gens de Mbéni dans la région du Hamahamet diffère du parler des gens de Fumbuni dans la région du Mbadjini. Il en est de même à Anjouan entre les gens de Mutsamudu, sur la côte nord, et ceux du Nyumakele, dans le sud-est de l'île, ou encore, à Mayotte, entre Mamoudzou et Kani Bé ou Mwana-Trindri dans le sud, etc.

Un mot sur la langue mahoraise.

M.A.C:Le shimaore appartient au même sous-groupe dialectal que le shindzuani. C'est dire qu'il faut souvent écouter attentivement pour percevoir les différences entre ces deux dialectes. Le shimaore fait ainsi partie intégrante de la langue comorienne.

Le comorien s'enrichit-il ou s'appauvrit-il (avec le phénomène de créolisation de la langue) ?

M.A.C : Parler à l'heure actuelle de créolisation de la langue comorienne est quelque peu exagéré. Certes elle ingurgite aujourd'hui beaucoup de mots d'origine française. Mais cela reste « raisonnable ». Le comorien a emprunté énormément de vocabulaire d'origine arabe, environ entre 30 et 40 % du lexique, pourtant on ne parle pas de créole arabe, et cela à juste titre. En effet, ce qui fonde une langue, ce ne sont pas seulement les mots. Ce sont surtout sa structure grammaticale et sa syntaxe. De ce point de vue, le comorien ne ressemble ni à l'arabe ni au français.
On ne peut pas dire que le comorien s'appauvrit. Essentiellement oral, il répond parfaitement à nos besoins de communication. Il est toutefois évident qu'une langue écrite possède un stock lexical beaucoup plus étendu qu'une langue orale. Ne vous inquiétez pas pour le comorien. Si un jour, on décide de l'écrire, de l'enseigner et de l'utiliser dans l'administration, il ne pourra que s'enrichir. Il s'enrichira en se forgeant des mots nouveaux ou en empruntant d'autres ailleurs, comme cela se fait dans les langues dites de « grande civilisation ».

Où en est actuellement la recherche sur la langue comorienne ?

M.A.C: La recherche sur la langue comorienne avance ; trop lentement peut-être, mais elle avance. Nous avons aujourd'hui une meilleure connaissance sur elle qu'il y a vingt ans. Malheureusement, c'est un domaine qui intéresse peu de monde, aussi bien chez les nationaux que chez les chercheurs étrangers.

Pensez-vous qu'un jour tous les Comoriens parleront la même langue ? Et sur quoi se fonderait cette sédimentation en une seule langue « nationale » ?

Mohamed Ahmed-Chamanga : Nous parlons déjà la même langue. Ce qui nous manque, c'est une langue standard, comme en Tanzanie avec le swahili, à Madagascar avec le malgache, ou en encore au Zimbabwe avec le shona, etc. Pour arriver à ce stade, il faut qu'il y ait une réelle volonté politique, une prise de conscience chez les Comoriens de vouloir mieux apprivoiser leur propre culture et que soit mise en place une équipe de chercheurs qui se pencherait sur la question et qui proposerait cette langue standard qui serait utilisée dans tout l'archipel des Comores.

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DEPUIS LE 01 DECEMBRE 2013, ALLAOUI HALIDI A CEDE LA RESPONSABILITE DE VOTRE BLOG A MADAME MARIAMA HALIDI.

 

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CI-DESSOUS LES NEWS  RECENTES  DES COMORES

 

 

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A PROPOS DE OUANI

Ouani et ses grands hommes
 
 
L’être humain est insignifiant puisque le corbeau et beaucoup d’autres espèces d’arbres vivent plus longtemps que lui. De ce court séjour dans ce bas monde à la différence d’autres êtres vivants, l’homme peut marquer de son empreinte l’histoire.
A OUANI, ce genre d’homme malgré sa rareté, a existé et continu à exister jusqu’à nos jours. En ouvrant ce nouveau chapitre, quelques dignitaires en collaboration avec le comité de pilotage de la ville ont tenu à rendre hommage beaucoup d’hommes et de femmes qui ont fait du bien à cette ville.
En dehors de tout jugement, ils ont fait de leur mieux pour que Ouani devienne l’une des grandes villes les plus rayonnantes des Comores et Ouani l’est grâce à eux. Elle doit continuer à l’être pour nous et les générations à venir.
A titre posthume, nous tirons la révérence devant Saïd Toiha (Baco Moegné), Saïd Abdou Bacar Nomane, Saïd Abdou Sidi et Saïd Andria Zafi.
 
Le premier pour avoir créé la première école privée de la ville dans l’objectif de ne plus avoir un enfant de six à sept ans non scolarisé, le second qui a été le premier à être ministre et dont les louanges dépassent les frontières de la ville, le troisième a accompagné plusieurs années la jeunesse et le dernier a beaucoup contribué au niveau de l’enseignement primaire par son dévouement et son engagement à instruire ceux qui l’ont fait pour nous. Cette liste vient de s’ouvrir et n’est pas prête de se fermer ; beaucoup d’autres personnes disparues ou vivant tels que les enseignants apparaîtront à la prochaine édition.
Ansaly Soiffa Abdourrahamane
 
Article paru en 2003 dans le n° 0 de Jouwa, bulletin d’information de OUANI
 
 
 
 
LES ENFANTS DE LA VILLE DE OUANI
ET L’HISTOIRE   DES COMORES
 
 Beaucoup d’enfants de la ville de OUANI ont marqué et marqueront toujours l’histoire de leur pays : les îles Comores.
 
 En voici quelques uns dans différents domaines.
 La liste n’est pas exhaustive
 
 I) LITTERATURE
 
LITTERATURE ORALE
 
ABDEREMANE ABDALLAH dit BAHA PALA
 
Grand connaisseur du passé comorien décédé brusquement en 1988.
Actuellement, un projet de publication de sa biographie est en étude.
On trouve beaucoup de ses témoignages sur l’histoire des Comores dans le tome 2 de l’excellente thèse de SIDI Ainouddine sur la crise foncière à Anjouan soutenue à l’INALCO en 1994 
 
LITTERATURE ECRITE
 
Mohamed Ahmed-CHAMANGA
 
Grand linguiste des Comores
 
 Né à Ouani (Anjouan) en 1952, Mohamed Ahmed-Chamanga, diplômé de swahili et d'arabe, a fait des recherches linguistiques sur sa langue maternelle. Il enseigne la langue et la littérature comorienne à l'Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco). Il est l'auteur d'une thèse, de plusieurs articles, ainsi que d'un recueil de contes de l'île d'Anjouan : Roi, femmes et djinns (CLIF, 1998). Président de l'Association Fraternité Anjouanaise, Mohamed Ahmed-Chamanga a fondé, en 1997, le journal Masiwa.
 Il enseigne actuellement la langue et la littérature comoriennes à l’Institut National des Langues et Civilisations Orientales de Paris (INALCO).
 
AINOUDINE SIDI
 
 Historien & grand spécialiste de l’histoire foncière des Comores 
 
 Né à OUANI, en 1956. Il a fait des études d’histoire à l’université de DAKAR (SENEGAL) et a préparé un doctorat d’études africaines à l’INALCO (PARIS)  Il est actuellement chercheur et Directeur du CNDRS (Centre National de Documentation et de Recherches Scientifiques) à MORONI.
 
 II) MUSIQUES & CHANTS
 
DHOIFFIR ABDEREMANE
 
Un des fondateurs de l’orchestre JOUJOU des Comores.
Avec ses chansons axées sur la contestation sociale. Il fait partie des premiers artistes qui ont introduit aux années 60 une nouvelle forme de musique aux COMORES.
 
C’est un homme très discret mais plein de talents. On se souviendra toujours de ses productions à la salle AL CAMAR de MORONI.
 
FOUDHOYLA CHAFFI
 
 Une des premières femmes comoriennes à avoir fait partie d’un orchestre musical.
 Il s’agit là d’un engagement incontestable de la part d’une femme comorienne.
 Elle a commencé à jouer un rôle important dans la chanson à partir de 1975 comme chanteuse principale de l’orchestre JOUJOU des Comores.
Sa voix d’or résonne toujours dans le cœur de tous ceux qui ont vécu dans notre pays de 1975 à 1978. On ne passait pas en effet, une seule journée sans entendre une de ses chansons sur l’égalité des sexes, l’unité des Comores, le changement des mentalités… à la radio nationale.
 
 III) POLITIQUE
 
Le sultan ABDALLAH III
 
 De mère ouanienne, il est l’un des grands sultans qui ont régné dans l’archipel des Comores au 18eme siècle et plus précisément sur l’île d’Anjouan.
 
SITTOU RAGHADAT MOHAMED
 
La première femme ministre et élue député des COMORES
 
Né le 06 juillet 1952 à OUANI. Elle a enseigné pendant plusieurs années le français et l’histoire géographie dans différents collèges du pays avant d’être nommée secrétaire d’Etat à la condition féminine et à la population en 1991.
De 1991 à 1996 elle a assumé de hautes responsabilités politiques : Haut commissaire à la condition féminine, Ministres des affaires sociales, conseiller spécial du président de la république, secrétaire général adjoint du gouvernement, élue députée ….
Actuellement, elle est enseignante à l’IFERE et Présidente du FAWECOM.
 
Article publié sur le site de l'AOFFRAC (www.aoffrac.com)
 
 
 
 
 
 

 

 

 

 

 

21 juillet 2010 3 21 /07 /juillet /2010 11:37

Calendrier des manifestations

Dimanche 25 juillet 2010
Après midi : ouverture
Soir: Élimination concours de danse

Lundi 26 juillet 2010
Après midi : Carnaval
Soir : Podium folklorique

Mardi 27 juillet 2010
Matin : natation et course de pirogues
Après midi: causerie
Soir : Finale de basket ball

Mercredi 28 juillet 2010
Matin: concours (jeu de sac et pneu)
Après midi: Finale foot-ball senior
Soir: finale concours de danse

Jeudi 29 juillet 2010
Matin: course et marche Féminine
Après midi: final Pétanque
Soir: concours du saint coran

Vendredi 30 juillet 2010
Matin: Finale foot-ball minime
Après midi: finale foot-ball vétéran
Soir: Soirée dansante

Samedi 31 juillet 2010
Matin: Demi fond  spécial vétéran
Après midi : Tam Tam de bœuf
Soir: Festival

Dimanche 01 aout 2010
Matin: Relais
après midi: Jeux de société
soir: Théâtre
comité d'organisation de la semaine culturelle d'ouani
tel: 00269 339 45 98
email: semaineculturellede lajeunesse@ yahoo.fr

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25 juin 2010 5 25 /06 /juin /2010 21:07

PROGRAMME DE LA FETE DE L'INDEPENDANCE DES COMORES

DU 03 JUILLET 2010 AU MEE SUR SEINE

 

60 allée de la gare 77350 Le Mée sur Seine

Contact: Tl : 06 16 37 19 83 ou 0173 52 15 40 e-mail :boinaboina1@yahoo.fr  le Samedi 3 juillet 2010 à partir de 11h00.

 

10h00 : Installation de stands

11h00 : Kermesse animée par les jeunes scolaires et étudiants de l'ACCCM

 

                                               PREMIERE PARTIE

 

13h30 : OUVERTURE DE LA CÉRÉMONIE PAR L’HYMNE NATIONALE

13h35 : Discours de bienvenue Par le Président de l’ACCCM en langue

nationale (7min)

13h42 : Discours du Secrétaire Général de l'ACCCM (7min)

13h49 : Discours de M. le Maire ou son représentant (7min)=

13h56 : Discours de M. l'ambassadeur ou son représentant (7min)

14h03 : Chorale présentée par les élèves et étudiants de l'ACCCM (7min)

14h10 : Conférences débat sur «l'immigration comorienne en France»

par M.S.Badjrafel : Linguiste (15mn + 10mn de débat)

Modérateur : Abdéremane Boina Boina

14h35 : Shanyir de Said Chaihane sur la journée du 6 juillet présenté Par Abdou Hassane (7mn)

14h42 : Conférences sur «le déficit de l'image du noir» par

N.Y.S.Y.M.B. LASCONY : Documentaliste/Écrivain/Poète/Orchestrateur de Jazz et Panafricaniste.

(25mn + 15mn de débat)

Modérateur : Abdéremane Boina Boina

15h22 : Défilé de mode présenté par les jeunes de l'ACCCM

 

                                               DEUXIEME PARTIE ME PARTIE’ACCM

15h40: Sambe présenté par ACCCM

15h50: Bora, wadaha animés et présentés par les femmes de l'ACCCM

 

                                               TROISIEME PARTIE1

 

17h00: EN LIVE AVEC DES ARTISTES

Djatou, Hadji, Amine, Abdoulatuf, Bolero, S.H.IDI, Joaquime, et pleines de surprises

18h00: Diner en compagnie de tous ces artistes et l'animation assurée par DJ Ben

                                                23h00: Fin de la journée.

 

 

 

 

 

 

 

 

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24 juin 2010 4 24 /06 /juin /2010 20:42

Communiqué de presse

SOS DEMOCRATIE COMORES

Cérémonie commémorative en mémoire des victimes de Yemenia
Les comoriens de France sont toujours en deuil depuis le 30 juin 2009.
Nous nous souviendrons des 152 victimes à la suite du crash de l'Airbus de la compagnie Yemenia Airways dans la nuit du 29 au 30 juin 2009 aux larges des Comores.

En mémoire de cette tragédie, devenue un drame national, nous vous invitons à une cérémonie commémorative qui aura lieu ce dimanche 27 juin 2010 en présence de personnalités comoriennes et françaises.

Dimanche 27 juin 2010 à partir de 14 heures

au Gymnase Bernard DAUVIN
12 rue René BINET
75018 PARIS


Métro: Porte de Clignancourt

Infoline:

06 29 99 85 67
06 99 93 10 20
06 63 37 33 53
06 61 60 18 50

Nous comptons sur votre présence à cet événement.

E-mail: sosdemocratiecomores@orange.fr
Blog: sosdemocratiecomores.skyrock.com
Facebook: Sos Democratie Comores

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16 juin 2010 3 16 /06 /juin /2010 10:02
CONFÉRENCE


A l'occasion de la parution du livre  "Introduction à la grammaire structurale du comorien. Vol. 1 - Le shiNgazidja" de Mohamed Ahmed-Chamanga, l'Association ARC-EN-CIEL organise une conférence sur le thème de la langue comorienne, en présence de l'auteur.

Le Vendredi 18  juin 2010, 18h, bât C, salle C022
A L'UNIVERSITÉ PARIS 8


La conférence sera animée par Ibrahim Barwane (doctorant en anthropologie et comédien), Mouhammad ANBDOUL ANLYM (Master2 en sciences politiques) et Abbas Cheikh (Licence économie et gestion).

Le livre sera en vente sur place 15 euros au lieu de 20 euros.

 


Association des étudiants comoriens de paris8
2 rue de la Liberté - 93526 St Denis cedex
Tel: 01-48-27-17-51
mail : Ibarwane@gmail.com
M° : Saint-Denis Université (ligne 13)

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28 mars 2010 7 28 /03 /mars /2010 20:52

Rappel : Journée culturelle exceptionnelle de l’AOFFRAC du samedi 03 avril 2010

  

DSCI0354.JPGTous à la journée culturelle exceptionnelle de l’AOFFRAC (Association Ouanienne de Floirac France Comores) du 03 avril 2010

à FLOIRAC (33270) près de BORDEAUX

à partir de 12 h 00

Salle Roland BARTHES

Centre d’animation de Haut Floirac

Rue Voltaire

 

Mobilisons nous ; mobilisons nos amis pour participer à cette journée culturelle. Une façon parmi tant d'autres d'aider notre pays, les COMORES, en général et la ville historique d’OUANI située au nord sur l’île d’Anjouan en particulier.

Il ne reste que quelques jours de réflexion pour les indécis. La journée culturelle de l’AOFFRAC de cette année sera exceptionnelle. Car 10 ans d’activités associatives se fêtent en pompe.

 

 

DSCI0386
Outre les festivités habituelles (Nkandza, mchogoro, Chigoma, Tari, wadaha, Mgodro…) et la soirée dansante, une grande exposition culturelle est prévue (présentation des livres des auteurs comoriens, artisanat, photos, objets comoriens…). Un vibrant hommage sera aussi rendu à l’orchestre mythique, Joujou des Comores.


Coralie Frei née Ahamed Idaroussi (alias Courachia Badjini), la première romancière d’origine comorienne
présentera son nouveau roman « la perle des Comores » publié chez Le Manuscrit et assurera une séance de dédicace.

 

Halidi allaoui, auteur d’un recueil de poèmes « Cris d’ici et d’ailleurs » publié chez Komédit en 2008 sera aussi présent à cette journée culturelle.

Une belle occasion pour échanger avec ces deux auteurs comoriens sur leurs œuvres et d’autres sujets.

 

Il y aura aussi des surprises pour les enfants et les adultes !!!

 

L’animation sera assurée par DJ Loukman, le DJ d’origine comorienne qui fait vibrer en ce moment Bordeaux et ses environs.

 

 DSCI0428.JPGVenez nombreux.

 

Le Président ABASSE Abdouroihamane (Sabasse) et tous les membres de l’AOFFRAC vous réservent un accueil chaleureux


Pour tous renseignements

Sabasse (05 56 40 23 22)

Halidi (06 61 70 15 06)

Sayirah (06 58 75 55 58)

Moktar (06 31 16 42 73)

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23 mars 2010 2 23 /03 /mars /2010 23:21
Vendredis de l’Arc-en-ciel

Conférence-débat
 vendredi 26 mars 2010, à 18h


Bât C, salle CO22 à l’Université de Saint Denis Paris 8
Metro 13

Thématique : « Le rêve inachevé d’une Femme dans la société anjouanaise »

Conférencière : Coralie Fréi née Courachia Ahmed Idarousse


crédit photo © De La Lune
Coralie-22-03-10-ok.JPGNative de l’île comorienne d’Anjouan(Wani), Coralie Fréi a fait des études linguistiques(licence, Toulouse) et d’infirmière( infirmière d’Etat, La Réunion, 1983).

Passionnée par la poésie, les contes, le roman et la musique, Coralie publia :

-Coralie, CD Poésie, allemand, 2002,
-Coralie tout en poésie tout en musique, CD, français, 2003,
-Das Tagebuch der Maya, conte, allemand, 2006,
-Weit wie der Ozean Roman, allemand, 2008,
-La perle des Comores Roman, français, 2010

Le devoir d’engagement en faveur des Comores : une participation de vous tous au service du co-développement !

Conférence animée par Ibrahim Barwane (doctorant en anthropologie et comédien) et Mouhammad ANBDOUL ANLYM (Master2 en sciences politiques)
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18 février 2010 4 18 /02 /février /2010 22:29

 Cliquez sur l'affiche pour l'agrandirflyer Coralie 

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18 novembre 2009 3 18 /11 /novembre /2009 22:44


L’Association des Originaires des Comores en France

(A.O.C.O.F)

Vous invite à découvrir des éléments de sa culture lors de sa traditionnelle

 

JOURNEE CULTURELLE

DU SAMEDI 27 FEVRIER 2010

A PARTIR DE 14H

Gymnase Michel Jazy

Rue du Cimetière

77600 Bussy St Georges

 

 Baie de Ouani-Anjouan-Comores

 

Danses traditionnelles masculines et féminines  ponctueront cette journée autour de spécialités culinaires comoriennes.  Il s'en suivra une soirée dansante.

 

Nouveautés

 

A partir de 10h : Tournoi  de football en extérieur  avec remise de trophée

Animations jeunes : Sports et Jeux

Ateliers d'initiation aux danses  traditionnelles féminines (Wadaha) et masculines (Chigoma)

 

            14h00-19h00: Danses féminines: Tari – Wadaha – Mgodro – Mbiou -Toirabou

            19h00-21h00: Danses masculines: Mchogoro - Chigoma...

            21h00 à l'aube: Soirée dansante: Musique Africaine – Comorienne – Ragga – Zouk - RN'B...

 

ENTREE : 10 € (entrée gratuite pour les moins de 12 ans)

 

Contacts :             Mme AHMED Toilhati – Présidente – 06.61.06.93.03

                               Mr SINANE Amir – Secrétaire Général – 06.50.20.23.51

                               Mme SINANE Sitina – Animatrice – 06.67.29.12.02

 

Accès : En voiture

 

A4 sortie 12 "Bussy Saint Georges". Entrer dans la ville en prenant tous les ronds-points tout droit jusqu'à un grand rond-point ovale, prendre à gauche. Le Gymnase Jazy se trouve à 50m du Lycée Maurice Rondeau sur le rond point

 

Accès: En RER

 

RER Ligne A direction Chessy Marne la Vallée, descendre à Bussy Saint Georges. En sortant des tourniquets, prendre à droite. Aller en direction de la ville, vers l'hotel Holiday Inn, remonter le boulevard de Lagny jusqu'à un grand rond-point ovale et prendre à gauche  et vous y êtes à 100m

 

 

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23 octobre 2009 5 23 /10 /octobre /2009 21:16

INVITATION

 

  Les deux familles - de France - frappées par le deuil du très regretté Djamal Nomane (Monenfant), vous convient à une prière à sa mémoire le samedi 31 octobre 2009 à partir de 14 heures dans la salle sis 18 rue Buissonnière à Bussy Saint-Georges (77).

 

Qu’Allah le Miséricordieux lui ouvre les portes du Paradis !

 

 

Hadji Djaffar

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22 octobre 2009 4 22 /10 /octobre /2009 20:39

ANNONCE :

 

Nous venons de recevoir le message ci-dessous. Il peut aussi vous intéresser.

 

 

 Réunion du Gouverneur de Ndzuwani à Paris : dimanche 25 octobre 2009

 

 

Avis à la communauté comorienne  de Ndzuwani en France

 

 

Le gouverneur de N’dzuwani, Moussa Toybou, en visite en France, souhaite rencontrer la communauté comorienne de Ndzuwani ce dimanche 25 octobre à 14 heures 30 au :

 

1, rue de Nantes

75019 PARIS

 

C’est l’occasion pour vous tous d’aller lui poser vos questions  et lui dire ce que vous pensez de la gestion de Ndzuwani depuis son élection.

 

Ne ratez pas cette belle occasion.

 

 

 

HALIDI-BLOG-COMORES

 

 

 

 

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