LE BLOG DE MADAME HALIDI ALLAOUI
MARIAMA
passionnée des Comores
Une comorofrançaise de OUANI
Ma passion, c'est mon pays natal, les Comores et ma ville, Ouani, ma raison d'être
"S'accepter est le sommet de la lacheté, n'existe que celui
qui se refuse"
SONI LABOU TANSI : La Vie et demie (Paris - Seuil 1979)
"Un homme responsable est celui qui assume ses actes et
défend haut et fort ses convictions. Il
reste maître de sa pensée et refuse de devenir un mouton"
Halidi Allaoui
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NOUS VOUS INFORMONS QUE DEPUIS LE 01 DECEMBRE 2013, VOTRE BLOG CREE PAR ALLAOUI HALIDI, IL Y A QUELQUES ANNEES, EST GERE PAR MADAME MARIAMA HALIDI
MERCI DE VOTRE FIDELITE
Mariama HALIDI
QU'EST CE QUE LA LANGUE COMORIENNE ?
Pour répondre à cette question pertinente, nous vous proposons ci- dessous l'interview du grand linguiste et spécialiste de la langue comorienne, Mohamed-Ahmed Chamanga
NA MKARIBU HARI MWA YI BLOG YANGU
Cet outil va me permettre de vous faire decouvrir mon pays natal et
partager quelques unes de mes passions.......à ma façon !!!!
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Halidi Mariama (HALIDI-BLOG-COMORES)
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DEPUIS LE 01 DECEMBRE 2013, ALLAOUI HALIDI A CEDE LA RESPONSABILITE DE VOTRE BLOG A MADAME MARIAMA HALIDI.
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CI-DESSOUS LES NEWS RECENTES DES COMORES
FOUDHOYLA CHAFFI : Une des premières femmes comoriennes à avoir fait partie d’un orchestre musical et Lauréate du Gaboussi d'or de l'année 2001.
Il s’agit là d’un engagement incontestable de la part d’une femme comorienne. Elle a commencé à jouer un rôle important dans la chanson à partir de 1975 comme chanteuse principale de l’orchestre JOUJOU des Comores. Sa voix d’or résonne toujours dans le cœur de tous ceux qui ont vécu dans notre pays de 1975 à 1978. On ne passait pas en effet, une seule journée sans entendre une de ses chansons sur l’égalité des sexes, l’unité des Comores, le changement des mentalités… à la radio nationale.
Ci-dessous son célébre clip intitulé " UDZIMA".
Cliquez une fois :
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Moroni, vendredi 2 mars 2007 (HZK-Presse) – Depuis hier jeudi aucun nouveau cas de choléra n’a été enregistré par les structures sanitaires de Ngazidja. La confirmation a été faite ce matin par le secrétaire général du ministère de la santé de l’île, Abdoulfatah Boina, qui cite le chiffre de 11 personnes atteintes de la maladie dont une décédée.
Il ne resterait plus aujourd’hui que « deux patients qui sont en cours de traitement » au centre hospitalier El-Maarouf, ajoute-t-il, ce qui traduit « une nette amélioration de la situation » selon M. Abdoulfatah, grâce notamment aux actions engagées sur le terrain depuis près d’une semaine, dans le cadre de la stratégie nationale de lutte contre le choléra.
Cette phase opérationnelle a permis de maîtriser l’évolution de l’épidémie, à travers la communication, la sensibilisation, la surveillance épidémiologique et la prise en charge médicale des malades.
Un arrêté des autorités insulaires a même interdit la vente de produits alimentaires et boissons ne répondant pas aux normes phytosanitaires en vigueur, afin d’éviter la propagation de la bactérie responsable de cette maladie, assure la même source.
Au pavillon cholérique ouvert au centre hospitalier El-Maarouf de Moroni et où HZK-Presse a pu constater hier en milieu de journée la présence de 6 malades, le personnel médical semblait « plutôt optimiste » à l’idée d’une éradication rapide, compte tenu du faible taux de prévalence et son cantonnement dans une seule zone, la capitale.
La vaste campagne de sensibilisation déployée depuis lundi dernier à travers toutes les régions de l’île « a sans doute été payante », avoue le secrétaire général du ministère de la santé, qui se félicite de la bonne collaboration des différentes équipes mises en place avec l’appui de la vice-présidence de l’Union en charge de la santé publique.
Elles ont sillonné tous les établissements scolaires et les milieux à risques pour prodiguer les mesures préventives, tels que les gestes élémentaires d’hygiène, sachant que le principal vecteur de transmission reste la main. Les lieux d’habitations des malades et leur voisinage ont déjà été désinfectés par les volontaires du Croissant rouge comorien.
Source : El-Had Said Omar - 20307/eso/hzkpresse/7h30
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Moroni, mercredi 28 février 2007 (HZK-Presse) – L’ancien directeur de cabinet du président Azali et actuel secrétaire général de la
Convention pour le renouveau des Comores (Crc), principal parti d’opposition au régime du président Sambi, a été empêché ce mercredi matin de se rendre à Anjouan. Houmed Ali Msaidié était
attendu dans l’île dans le cadre d’une tournée de prise de contact avec la section régionale de son parti, a-t-il déclaré à HZK-Presse
« Mon nom a été rajouté à la main sur une liste de personnalités interdites de quitter le territoire », poursuit l’ancien ministre d’Etat qui se dit «
choqué par cette mesure arbitraire », alors qu’il n’est soumis à aucun contrôle judiciaire.
A en croire ce dirigeant de l’opposition, le procureur de la république, M. Azad Mzé aurait même clairement signifié au directeur national de la sûreté du territoire, auteur de la note d’interdiction, que Msaidié était bien « libre de ses mouvements ». Il avait bénéficié le 2 septembre 2006 d’une mise en liberté d’office par la chambre d’accusation du tribunal de Moroni, après un mois passé en prison dans le cadre de l’affaire des détournements de fonds à la société comorienne des hydrocarbures. Dans sa ligne de défense devant les 7 juges de la Cour constitutionnelle, son avocat avait invoqué « l’incompétence » des tribunaux ordinaires, estimant que « les faits incriminés étaient commis par son client dans le cadre de l’exercice de ses fonctions de ministre d’Etat », expliquait Me Fahmi. L’ancien directeur de cabinet du président Azali accuse le nouveau pouvoir d’initier « des pratiques dignes d’un régime totalitaire ». « Si c’est ma qualité d’opposant qui gêne, pourquoi un Jaffar Salim (le ministre de l’intérieur de l’île autonome d’Anjouan, ndlr) qui défie le gouvernement de l’Union, peut-il circuler librement sur le territoire national, tout comme Said Abeid (ancien dirigeant séparatiste exilé en France depuis 2001) qui se trouve actuellement dans le pays alors qu’il fait l’objet de poursuites… », dit-il. Aucune réaction du gouvernement de l’Union n’a encore été faite sur cette affaire.
Source : El-Had Said Omar - 280207/eso/hzkpresse/7h00
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Moroni, mardi 27 février 2007 (HZK-Presse) – Un mort et sept personnes admises au centre hospitalier d’El-Maarouf. C’est le bilan fourni à HZK-Presse en début de soirée par le service des urgences de l’hôpital à propos de l’épidémie de choléra qui a refait surface depuis près d’une semaine.
Le fait suspecté le 22 janvier, et confirmé cliniquement le lendemain, n’a été confirmé biologiquement que le dimanche 25 janvier après les résultats des analyses du laboratoire du centre hospitalier El-Maarouf, nous a appris le Dr Djabir, chef du service des urgences.
« Dès lors, a-t-il dit, nous avons pris toutes les dispositions qu’il faut et le pavillon cholérique a rouvert ses portes où sont admises actuellement sept personnes ».
Le Dr Djabir qui a déploré la perte d’un enfant et une personne qui a pris la fuite alors qu’elle devait être hospitalisée, a souligné que l’épidémie est principalement localisée à Moroni où se pose depuis plusieurs jours un problème de distribution d’eau potable, et a attiré l’attention à tous en raison de la rapidité de propagation de la maladie de par les mouvements quotidiens de la population.
« Une fois les résultats des examens en laboratoire connus, a indiqué le Dr Djabir, nous avons saisi les autorités sanitaires qui ont fait prendre toutes les mesures appropriées ».
Le médecin qui a exprimé sa gratitude à l’endroit des partenaires traditionnels des Comores (OMS, UNICEF, etc.) s’est dit particulièrement reconnaissant vis-à-vis du Croissant rouge qui s’est déployé rapidement pour apporter son concours notamment par des actions de désinfection des lieux.
Précisant n’avoir pas noté de problème très particulier, le chef des urgences d’El-Maarouf appelle, cependant, à la vigilance pour stopper la maladie avant qu’elle n’atteigne des proportions inquiétantes en dépassant les limites de la capitale. Une cellule d’urgence a été dors et déjà mise en place, sur décision de la vice-présidence en charge de la Santé, en coordination avec le bureau de l’organisation mondiale de la santé (OMS), pour suivre l’évolution de la situation et déployer une vaste campagne de sensibilisation de la population pour une meilleur prévention contre le risque d’une épidémie qui sévit actuellement dans certains pays d’Afrique de l’est. La dernière crise de choléra aux Comores remonte à l’année 1997. Source : Hassani Ahmed - 270207/ha/hzkresse/8h00
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