LE BLOG DE MADAME HALIDI ALLAOUI
MARIAMA
passionnée des Comores
Une comorofrançaise de OUANI
Ma passion, c'est mon pays natal, les Comores et ma ville, Ouani, ma raison d'être
"S'accepter est le sommet de la lacheté, n'existe que celui
qui se refuse"
SONI LABOU TANSI : La Vie et demie (Paris - Seuil 1979)
"Un homme responsable est celui qui assume ses actes et
défend haut et fort ses convictions. Il
reste maître de sa pensée et refuse de devenir un mouton"
Halidi Allaoui
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Mariama HALIDI
QU'EST CE QUE LA LANGUE COMORIENNE ?
Pour répondre à cette question pertinente, nous vous proposons ci- dessous l'interview du grand linguiste et spécialiste de la langue comorienne, Mohamed-Ahmed Chamanga
NA MKARIBU HARI MWA YI BLOG YANGU
Cet outil va me permettre de vous faire decouvrir mon pays natal et
partager quelques unes de mes passions.......à ma façon !!!!
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CI-DESSOUS LES NEWS RECENTES DES COMORES
Présidentielles des îles :Une force militaire est nécessaire pour sécuriser les élections
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Le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Ben Saïd Jaffar, a confirmé l’envoi de soldats pour la sécurisation des élections, soulignant
l’arrivée à Moroni d’une mission d’officiers sud-africains pour préparer les conditions de leur déploiement.
Moroni, vendredi 20 avril 2007 (HZK-Presse) – Dans un entretien, hier
jeudi avec HZK-Presse, le secrétaire rapporteur de la Commission électorale nationale indépendante (CENI) a confirmé l’envoi par la communauté internationale d’une mission militaire pour
la sécurisation des élections sur l’ensemble des trois îles.
M. Zahahé a indiqué que l’Union Africaine et l’Afrique du Sud ont fait savoir leur disponibilité à envoyer des troupes ainsi
que la Ligue des Etats arabes et d’autres pays africains. Une information confirmée par le ministre en charge des élections, Mmadi Ali, non sans ajouter que l’Afrique du Sud pourrait
participer au financement de cette opération.
De son côté, son collègue des Affaires étrangères, Ahmed Ben Saïd Jaffar, a lui aussi confirmé l’envoi de soldats pour la sécurisation des élections, soulignant l’arrivée à Moroni d’une mission d’officiers sud-africains pour préparer les conditions de leur déploiement. A la CENI où l’on semble mettre les bouchées doubles pour le bon déroulement des scrutins, l’on est à la saisie des listes électorales, « le travail de terrain, c’est-à-dire la révision des listes électorales, étant achevé depuis le 16 avril dernier » a dit Mohamed K. Zahahé. Sur le plan budgétaire, par contre, les choses ne semblent pas trop avancer. Au niveau de la Ligue des Etats arabes, le dossier est transmis tardivement, selon un membre de la CENI, soulignant que celui-ci a été remis à une mission de la Ligue « en visite actuellement dans le pays ». Le secrétaire général de la Commission se réjouit, néanmoins, d’un premier décaissement de 43 sur les 77 millions fc promis par le gouvernement comorien. « Le montant restant, a-t-il dit, sera versé avant la fin du mois ». Lors d’une réunion tenue au ministère des Affaires étrangères, au début de cette semaine, il a été demandé aux partenaires qui ont exprimé leur intention d’apporter leur appui à l’organisation des prochaines élections, de procéder à « la concrétisation des engagements pris pour éviter de retards éventuels ». [L’Union européenne pourrait y contribuer à hauteur de 180 millions fc et le Pnud pour environ 50 millions fc]. A présent les 35 prétendants au fauteuil présidentiel des trois exécutifs de Ngazidja, Ndzouani et Mwali, attendent la publication le 29 avril prochain par la Cour constitutionnelle de la liste définitive des candidats retenus. La campagne électorale sera lancée dès le 30 avril à minuit pour une durée de 40 jours.
Source : Hassani Ahmed - 200407/ha/hzkpresse/7h00
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SANTE PUBLIQUE : CONCOURS D'ENTREE A L'ECOLE DE SOINS
INFIRMIERS A ANJOUAN
Mutsamudu, mardi 17 avril 2006 (HZK-Presse) – Sous le patronage de la direction générale de la santé de l’île autonome d’Anjouan, les autorités de Ndzouani ont organisé la semaine dernière à l’école de Patsy un concours d’entrée à « l’école de soins infirmiers » nouvellement créée et qui est sur le point d’ouvrir pour la première fois ses portes d’ici la fin de ce mois d’avril, a appris HZK-Presse. Cette école des soins infirmiers qui s’ouvre constitue un nouveau département d’études au sein de l’université d’Anjouan dont la réintégration au sein de l’université des Comores demeure une pomme de discorde entre le ministère de l’éducation nationale de l’Union et le ministère de l’éducation de l’île de Ndzouani.
La décision d’ouvrir cette école et d’organiser ce concours a été prise lors du conseil des ministres du gouvernement de l’île autonome d’Anjouan tenu le jeudi 5 avril dernier à Daru-Najah.
Contacté par HZK-Presse, Docteur Affane Bacar, médecin en santé publique, président de jury et directeur des études en section santé a affirmé que « le concours s’est très bien déroulé puisqu’il était organisé dans des bonnes conditions. » En tout 158 bacheliers se sont portés candidats à ce concours pour seulement 40 places à pourvoir cette année d’étude dont le démarrage est prévu à la fin de ce mois d’avril, « si toutes les conditions sont réunies » a-t-il précisé. Si cette école de soins infirmiers parvenait à ouvrir ses portes cette année, les premiers élèves devront avoir une formation de 3 ans, théorie et pratique. La partie pratique sera organisée au centre hospitalier de référence d’Anjouan à Mutsamudu et au centre médico chirurgical de Domoni. Interrogé par HZK-Presse sur les motivations de l’ouverture d’une telle école, Dr Affane Bacar a déclaré que « 80 % des paramédicaux en exercice dans l’île actuellement sont appelés à partir à la retraite d’ici 5 ans et donc, il est urgent de préparer la relève. » L’ouverture de cette école répond à un autre souci, « celui d’encadrer le nombre important de bacheliers anjouanais qu’on trouve partout dans l’île et qui ont été empêchés d’accéder et à l’école de santé de Moroni et à l’université des Comores », a-t-il dit. Cette initiative des autorités d’Anjouan a suscité aussi des réactions chez une partie des médecins qui s’interrogent sur son opportunité, vu les difficultés financières souvent évoquées par les autorités de l’île à régulariser les situations administratives ou financières d’une partie du personnel de santé dans l’ile. « A ce jour, nous nous interrogeons sur l’opportunité de former des infirmiers et de sages femmes si l’on n’est pas en mesure de les prendre en charge après formation », affirme Dr Erchadiddine Ahmed, médecin des urgences à l’hôpital de Hombo. « Tout dernièrement nous avons reçu la dernière promotion des infirmiers et sages femmes sortants de l’école de médecine et de santé publique de Moroni, des cadres qui sont sur le point de cesser leurs activités comme cela a été le cas en 2005, faute de la non régularisation de leur situation administrative », a-t-il ajouté. Comme pour répondre à ces interrogations, Dr Affane s’est dit confiant quant « aux garanties et aux engagements » pris par les autorités de recruter après formation, les jeunes qui auront réussi leurs études. Source : Hamid Ahmed - 170406/ha/hzkpresse/12h00
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Nous venons d'apprendre à l'instant même que la ville de Ouani, située au nord de l'île d'ANJOUAN est encerclée depuis 14 heures 00 par les militaires de Mohamed Bacar. Leur objectif serait d'arrêter par tous les moyens Maître Ahmed Mandhui alias LEZAMED, Avocat au barreau de Mutsamudu. En cause, l'interview qu'il a accordée le samedi dernier à l'ORTC au cours de laquelle il a contesté la compétence de la Cour d'Appel d'Anjouan de statuer sur le maintien au pouvoir du chef de l'exécutif de l'île d'Anjouan après le 14 avril 2007.
Maîte Mandhui a assimilé le refus de Mohamed Bacar de quitter le pouvoir à un véritable coup d'Etat (Voir l'article ICI)
Affaire à suivre.
Halidi Allaoui
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